Josué 1:8-9

Les commandements de Dieu ne sont pas des ordres inconditionnels. La parole de Dieu est toujours une promesse de Dieu. Lorsqu'Il donne un commandement, Il donne également la capacité de le suivre. Ainsi, l'injonction d'observer toute la loi au verset 8 aurait également été accompagnée de la capacité de le faire.

Cependant, pourquoi le peuple d'Israël n'a-t-il pas réussi à observer pleinement la loi de Dieu ? Est-ce que le Seigneur Dieu ne marchait pas avec eux ? Dans les écrits de l'Ancien Testament, le Seigneur a choisi et appelé des dirigeants au sein du peuple d'Israël pour cheminer à leurs côtés. Cependant, cette présence n'était pas constante tout au long de leur existence, mais plutôt limitée à la période où ils accomplissaient la mission spécifique confiée par Dieu. Depuis la chute d'Adam, la présence de Dieu ne pouvait demeurer constamment parmi l'humanité. Par conséquent, l'accompagnement de Dieu aux côtés des dirigeants constituait une mesure exceptionnelle prise par Dieu pour sauver le peuple qu'Il avait choisi.

Depuis que Jésus a porté nos péchés et nos fardeaux sur la croix, l'Esprit Saint qu'Il nous a envoyé demeure avec ceux qui croient en Jésus. Si nous avons foi en Jésus, l'Esprit Saint est constamment avec nous, indépendamment de nos circonstances ou de notre mission. Il nous accompagne non seulement dans les grandes missions, mais aussi dans les aspects simples de notre vie quotidienne, apportant avec lui la paix de Dieu.

Comme le peuple de l'Ancien Testament s'est éloigné de Dieu en adorant des idoles, le piège le plus délicat à éviter pour rester dans la présence de Dieu à l'ère du Nouveau Testament est de se faire une idole de soi-même. Cela consiste à confondre la puissance du Saint-Esprit qui est en nous comme étant notre propre pouvoir. Adam et Ève ont succombé à cette tentation. Nous devons constamment dépendre de Dieu comme un enfant et attribuer toute gloire à Dieu éternellement, demeurant en Jésus-Christ, notre second Adam. Amen, alléluia !

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Bonjour Jean,

Les commandements de l'AT sont des ordres inconditionnels. Dieu ne donnait pas la capacité d'éviter les uns, et la force de faire les autres. Aussi ils nous condamnaient si nous ne les respections pas à 100 %. Par conséquent nous n'en restons qu'à Jacques 2 : 10. Heureusement, le Christ a souffert pour nos nombreux péchés.

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gerardh a écrit:__

Bonjour Jean,

Les commandements de l'AT sont des ordres inconditionnels. Dieu ne donnait pas la capacité d'éviter les uns, et la force de faire les autres. Aussi ils nous condamnaient si nous ne les respections pas à 100 %. Par conséquent nous n'en restons qu'à Jacques 2 : 10. Heureusement, le Christ a souffert pour nos nombreux péchés.

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Amen!

Bonjour Gérard, je vous souhaite une bonne journée

Jacques 2.10 Car quiconque observe toute la loi, mais pèche contre un seul commandement, devient coupable de tous.

Il est claire donc que Jacques, tout en insistant de mettre en pratique la foi, sougline l'impossiblité d'être sauvé par l'observance stricte de loi. On doit toujours trembler face à la possibilité de négliger un seul commandement.