Jésus Christ, la Promesse

Bonjour tous

Dans ce sujet, je voudrais parler de la promesse qui a été faite à Abram et de l'engagement de Dieu envers Lui-même.

L'histoire de la vie d'Abram commence au chapitre 12 par une parole de Dieu contenant une promesse. Si on n'a pas vu que l'objectif de Dieu pour nous c'est la promesse de la postérité à venir et faite sous serment, alors toute notre marche chrétienne dans ce monde en sera faussée.

On ne peut pas poser ni mettre en action notre foi sur une chose qui ne nous est pas parvenue. Dans ce cas, on se ment à soi même. On est trompé.

C'est la promesse qui est en premier et la foi vient ensuite. L'inverse est inconcevable car dans ce cas, la foi n'aurait rien sur quoi se poser; elle travaillerait dans le vide et malheureusement c'est ce qui se passe depuis 2000 ans puisque la promesse n'est jamais évoquée. On peut alors se demander si ce qui nous fait agir est bien le fruit de la foi: A voir!

L'histoire d'Abram commence ainsi : 1 L'Eternel dit à Abram : Va-t'en de ton pays, de ta patrie, et de la maison de ton père, dans le pays que je te montrerai.
2 Je ferai de toi une grande nation, et je te bénirai ; je rendrai ton nom grand, et tu seras une source de bénédiction.
3 Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront ; et toutes les familles de la terre seront bénies en toi.

Voilà, tout est dit. Du départ jusqu'à l'arrivée d'Abraham jusqu'au pays promis (le ciel) c'est l'Eternel qui va se charger de tout et il le fait savoir à Abram.

La foi croit en la promesse, et pour ce qui concerne les œuvres, elles viennent ensuite. Elles sont le fruit de la foi qui a cru en la promesse dans laquelle l'Eternel s'est engagé par parole et par serment.
Malheureusement ce qui est mis en avant dans les milieux religieux ce sont les œuvres, puis la foi et pour ce qui est de la promesse, elle n'est jamais évoquée.

En fait pour nous et depuis maintenant 2000 ans tout est faussé, puisqu'on ne sait pas en quoi consistent les œuvres de Dieu, cela n'étant jamais enseigné, et pour ce qui concerne la foi, on ne sait pas sur quoi elle s'appuie puisque la promesse donnée par parole n'est jamais évoquée.

Même du temps de Jésus ce problème existait déjà puisqu'à plusieurs endroits de la bible, on entend les Juifs lui demander ce qu'ils devaient faire pour faire les œuvres de Dieu.

Donc on ne sait pas en quoi consiste les œuvres de Dieu, qu'on passe sous silence le fait qu'Il a fait une promesse à Abram de lui donner un fils qui lui permettrait à lui et à sa postérité, d'accéder à toutes les promesses qui lui ont été faites; automatiquement ce sera l'homme qui fera ses propres oeuvres pensant ou espérant "sans être sur de rien", qu'elles ont leur origine en Dieu.

Pourtant si on lit l'histoire d'Abram depuis le chapitre12 du livre de la Genèse on voit avec évidence que c'est Dieu qui s'engage pour lui et lui promet de se charger de tout pour permettre à l'homme d'entrer dans "Son repos": Celui de Dieu.

Chacun sait d'ailleurs que personne ne peut faire une promesse ou dire une parole à quelqu'un si celle-ci ne s'appuie pas sur des faits.

Or quand l'Eternel a fait une promesse à Abram de lui donner à lui et à sa postérité après lui un fils, c'est sous forme de prophétie qu'il parlait, annonçant par avance la venue de son Fils Jésus Christ dans ce monde, Celui qui allaient manifester et rendre accessible à tous, les promesses que l'Eternel avait donné par paroles.

Par exemple dans Jean 6, à des Juifs qui demandaient à Jésus ce qu'ils devaient faire pour faire les œuvres de Dieu, il leur a répondu:

29 L'œuvre de Dieu, c'est que vous croyiez en celui qu'il a envoyé.

Pourquoi Jésus a répondu de cette manière ? Eh bien parce qu'en ce qui concerne les choses du royaume de Dieu les Juifs étaient en train de sortir du cadre de la promesse en voulant "faire" ce que Dieu avait pourtant promis à Abram de s'occuper de tout pour lui et à sa place ainsi qu'à sa postérité à sa suite.
Dieu sait très bien que le péché est entré dans l'homme et que quoi qu'il fasse, même avec un bon cœur, il ne parviendra jamais à atteindre le pays promis (le ciel) par ses forces propres.

Alors avant même que l'homme s'engage dans cette voie, Dieu prend les devants en s'engageant pour lui et à sa place par "promesse".
Ainsi dès le départ, l'homme à de quoi appuyer sa foi pour s'avancer dans le chemin. Il a juste à faire confiance à ce que Dieu a dit et promis.

Voilà, tout est dit. Ici il est question de croire oui, mais de croire en Celui que le Père a envoyé. En fait en parlant de la sorte aux Juifs, Jésus voulait montrer la différence qu'il y a entre "les œuvres" et l'œuvre de Dieu qui consistait à croire en une personne, ce qui n'est pas du tout la même chose.
Mais croire en une personne dont on ne sait pas pourquoi elle est venue, pourquoi elle a été envoyée, cela ne m'aide en rien.

Dans ce cas, ma foi n'a rien sur "quoi" ou sur "qui" m'appuyer: Elle est stérile, mais si je sais qu'en moi j'ai les gènes de Dieu, il arrivera un moment où je me poserais cette question de savoir qui est Celui que le Père a envoyé, et pourquoi Il l'a envoyé.

Déjà de par ma position de pécheur, je sais très bien que je ne parviendrais jamais à atteindre cette position de fils de Dieu, mais au-delà de cette compréhension, je suis en train de découvrir que je n'ai pas besoin de prier ou de me lamenter pour être transformé et être rendu apte d'entrer dans le royaume de Dieu.

Et cela parce qu'avant même que j'en fasse la demande, Dieu s'était déjà engagé par parole sous la forme d'une promesse qui me parvient au moment où j'en prends connaissance et que je m'en empare par la foi.

Il a juré sous serment de m'emmener jusqu'au ciel avec Lui, et cela parce que je fais partie de la postérité de sa Promesse, et que sa Promesse, c'est Christ. Il va me conduire, me garder, me protéger, m'enseigner par Le Saint Esprit qui est son Moyen par lequel je vis ces choses.
En fait ce que je vis aujourd'hui, c'est la même chose qui avait été promise à Abram et à sa postérité après lui, mais pour cela il fallait que la Promesse devienne une Personne.

Que de "Parole" elle prenne une forme d'Homme, et que ce soit Cet Homme qui rendent toutes les promesses qui ont été faites à Abram accessibles aux autres hommes issus de Lui, Lui La Promesse.

Il n'y a donc rien de nouveau sous le soleil, même pas la venue de Jésus sur terre. Il est juste la manifestation visible de Celui qui parlait à Abram.
Voilà maintenant comment je comprends les paroles que Jésus voulait faire parvenir aux Juifs à qui il parlait dans Jean 6 quand il a dit: L'œuvre de Dieu, c'est que vous croyiez à celui que le Père a envoyé.

Ne voyez-vous pas que celui que l'Eternel avait promis à Abram en tant que postérité à venir, c'est moi. Que cette promesse me concerne moi, et que toutes les promesses qu'Il lui a faite ainsi qu'au peuple dans le désert, c'est moi qui vais les réaliser aujourd'hui pour vous et vous les rendre accessible.
Ne voyez-vous pas que le Père c'est moi ? Que c'est moi qui suis descendu du ciel pour faire ce que j'avais promis et que vous n'ayez plus à vous fatiguer d'essayer.

J'ai fais une promesse à Abram et je la tiens. Vous en êtes les premiers bénéficiaires parce qu'après que je serai passé par la croix, je ressusciterai et vous donnerai le Saint Esprit qui vous permettra de recevoir l'effet de toutes ces promesses qui étaient annoncées sous forme de prophétie.

Il faut aussi que vous sachiez que ces promesses qui ont été faite à votre père Abraham, je les ai aussi renouvelés à mon peuple qui était tenu sous l'esclavage de Pharaon. Je ne les ai jamais laissés seuls parce que je m'étais engagé par promesse et par serment.

Je leur ai savoir que j'ai entendu leurs gémissements à cause des Egyptiens qui les tenaient dans la servitude, et que je me suis souvenu de mon alliance.
Je leur ai faire dire par la bouche de mon serviteur Moïse que de par mon nom qui est l'Eternel je les affranchirai des travaux dont les chargeaient les Egyptiens, je les délivrerai de leur servitude, et je les sauverai à bras étendu et par de grands jugements.

Que Je les prendrai pour mon peuple, et ils sauront que c'est moi, l'Eternel, Leur Dieu, qui les fera entrer dans le pays que j'ai juré de donner à Abraham et leur donnerai en possession. (Exode 6)

Et me voilà devant vous aujourd'hui non plus pour vous faire cette même promesse mais pour l'accomplir pour vous et vous la donner.

Vos pères dans le désert ont eux aussi hérités de ces promesses de Dieu car j'étais avec eux, quand je leur donnais de l'eau du rocher à boire et que le pain du ciel est descendu pour les nourrir. Les chaussures qui étaient à leurs pieds ne se sont pas usées.

Je les ai protégés du soleil et je n'ai pas permis que leurs ennemis prennent la victoire sur eux.
Vous voyez bien que la Promesse faite à Abram n'a jamais cessé d'exister et elle encore pour vous aujourd'hui.
Concernant Abram, je lui ai dit de partir de son pays et que de là Je ferai de lui une grande nation, que je le bénirai et rendrai son nom grand, et deviendra une source de bénédiction.

Je lui ai dis que je bénirai ceux qui le béniront, et maudirai ceux qui le maudiront; et que toutes les familles de la terre seront bénies en lui. (Genèse12)
Que tout le pays qu'il verrait, je le donnerai à lui et à sa postérité pour toujours.
Que je rendrai sa postérité comme la poussière de la terre, en sorte que, si quelqu'un peut compter la poussière de la terre, sa postérité aussi sera comptée. (Genèse 13)
Je lui ai aussi dit que c'est celui qui sortira de ses entrailles qui sera son héritier.

Ce sont toutes ces choses que je viens d'énoncer que je lui promettais, et si vous voulez bien le comprendre, c'était Moi qui suis devant vous, qui parlait à cette époque à Abram. Je prophétisais pour le jour de ma venue dans ce monde et vous en êtes les témoins.
Et quand "J'ai parlé de telle et telle manière à votre père Abraham, lui a cru à ce que je lui disais parce que c'est par promesse que je lui parlais et que mes promesses étaient toutes appuyées sur des faits.

Quand je parlais je m'engageais avec lui, et il a cru en moi parce que je parlais selon des faits et que ma Parole est toujours basée sur "La Vérité".
6 Abram eut confiance en l'Eternel, qui le lui imputa à justice. en (Genèse 15)

Vous savez quand j'ai parlé par promesse à Abraham celui que vous dites être votre père; eh bien sachez que cette promesse vous concerne aussi puisque vous me voyez devant vous aujourd'hui pour vous rendre accessibles toutes les promesses qui lui ont été faites et qui vont en éternité puisqu'elles sont en rapport avec le royaume des cieux.

8 Je te donnerai, et à tes descendants après toi, le pays que tu habites comme étranger, tout le pays de Canaan,(notre héritage dans le ciel) en possession perpétuelle, et je serai leur Dieu.
(Genèse 17)
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Voilà comment selon moi Jésus voulait remplir quand dans Jean 6, il a répondu en quelques mots à la question des Juifs qui lui demandaient ce qu'ils devaient faire pour faire les œuvres de Dieu et qu'il a répondu: L'œuvre de Dieu, c'est que vous croyiez en celui qu'il a envoyé.

En fait ce que je veux dire c'est que le point de départ de toutes choses, c'est Dieu et rien que Lui.

Si l'Eternel ne s'était pas engagé par promesse envers Abram devenu plus tard Abraham, eh cet homme n'aurait jamais pu mettre sa foi en action car la foi est toujours basée sur des faits de Dieu, toujours.

Et s'il y a des œuvres qui découlent de la foi, en fait elles ne sont que les fruits de ce que l'homme a cru dans la promesse, alors que la religion de l'homme cherche à nous faire croire le contraire qui est que ce sont les œuvres qui démontrent la foi de l'homme.

Non, ce n'est pas vrai:
La foi est liée à la promesse et pas aux œuvres que nous ferions.

La Promesse elle est en rapport avec Dieu, alors que la foi est en rapport avec l'homme, bien qu'elle soit un don de Dieu qui me permet de m'emparer de ses promesses.

Pour moi, c'est à la source que je vais chercher le secours pour vivre ma vie en Christ dans ce monde: Dans la Promesse.

Dans Ephésiens 2 il est marqué ceci:
8 Car c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu.
9 Ce n'est point par les œuvres, afin que personne ne se glorifie.
10 Car nous sommes son ouvrage, ayant été créés en Jésus-Christ pour de bonnes œuvres, que Dieu a préparées d'avance, afin que nous marchions en elles.

Ces œuvres dans lesquelles je marche ne sont pas les miennes mais ce sont celles de Christ en qui je suis, Lui qui est la Promesse promise à Abraham et à toute sa postérité après lui, c'est-à-dire nous aussi.

Lui Le Fils de Dieu en qui sont toutes les promesses, nous les a rendu accessibles nous les ayant données "en Lui" puisque Dieu le Père en avait fait le serment à celui qui allait devenir Abraham le père des croyants dans ce monde.

Dieu s'exprime par parole, mais il ne parle jamais en l'air. Il parle de choses qui sont acquises pour Lui, puisque étant dans l'Eternel, Il les voit déjà accomplies par son Fils quand il viendra dans sa condition d'homme.

Quand Dieu parle, c'est toujours par rapport à des faits: Faits passés, présents où à venir, mais en Lui déjà aboutis selon ce qu'il en a décidé selon son propre conseil. Dieu ne parle jamais pour ne rien dire.

En fait, Jésus c'est Dieu venu en chair venu accomplir les promesses qu'il avait faite à Abram. La promesse dans laquelle se trouvait toutes les promesses de Dieu c'était Jésus Christ, pas moins.

Pour moi le texte biblique qui m'a vraiment fait comprendre la façon dont Dieu s'y prend avec nous, se trouve dans la lettre aux Hébreux au chapitre 11. C'est au sujet de Sara, la femme d'Abraham :
11 C'est par la foi que Sara elle-même, malgré son âge avancé, fut rendue capable d'avoir une postérité, parce qu'elle crut à la fidélité de celui qui avait fait la promesse.

En fait il y a une chose dont on ne fait pas attention, c'est que Sara avait elle aussi, entendu une parole qui était en sa direction propre. Donc une promesse venant de la part de Dieu lui fut donnée aussi.

C'est dans Genèse 18:
9 Alors ils lui dirent : Où est Sarah, ta femme ? Il répondit : Elle est là, dans la tente.
10 L'un d'entre eux dit : Je reviendrai vers toi à cette même époque ; et voici, Sarah, ta femme, aura un fils. Sarah écoutait à l'entrée de la tente, qui était derrière lui.

Voilà cette parole était donc pour Sara, puisque les hommes savaient qu'était là et qu'elle écoutait.

Alors ce verset de la lettre aux Hébreux est magnifique dans le sens qu'il montre bien que si Sara n'avait pas entendu cette parole de promesse, eh bien sa foi n'aurait jamais pu se poser sur elle, et de ce fait n'aurait jamais donnée de fils à son mari.

Qu'est ce que je veux par là ? Eh bien que chaque promesse que Dieu fait doit me parvenir de manière toute personnelle. Ce n'est pas à mon voisin qu'elle est adressée mais à moi, si tant est que je sache entendre la voix de Dieu me parler. La Promesse est donc à être reçue de manière individuelle, bien qu'elle nous concerne tous.

Ce que je veux dire c'est que le point de départ de toutes choses, c'est Dieu et rien que Lui.

Si l'Eternel ne s'était pas engagé par promesse envers Abram devenu plus tard Abraham, eh cet homme n'aurait jamais pu mettre sa foi en action car la foi est toujours basée sur des faits de Dieu, toujours.

Et s'il y a des œuvres qui découlent de la foi, en fait elles ne sont que les fruits de ce que l'homme a cru dans la promesse, alors que la religion de l'homme cherche à nous faire croire le contraire qui est que ce sont les œuvres qui démontrent la foi de l'homme.

Non, ce n'est pas vrai:
La foi est liée à la promesse et pas aux œuvres que nous ferions.

En fait, Jésus c'est Dieu venu en chair venu accomplir les promesses qu'il avait faite à Abram. La promesse dans laquelle se trouvait toutes les promesses de Dieu c'était Jésus Christ, pas moins.
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Et pour ce qui concerne notre filiation avec Abraham, quel est le lien qui nous uni à lui ? Est-ce la foi, ou la promesse ?
La réponse de l'apôtre Paul se trouve dans la lettre aux Romains et dans la lettre aux Galates: Nous sommes les fils de la Promesse, la Promesse étant Jésus Christ.

8 En Isaac sera nommée pour toi une postérité, c'est-à-dire que ce ne sont pas les enfants de la chair qui sont enfants de Dieu, mais que ce sont les enfants de la promesse qui sont regardés comme la postérité. (Romains 9)
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28 Il n'y a plus ni Juif ni Grec, il n'y a plus ni esclave ni libre, il n'y a plus ni homme ni femme ; car tous vous êtes un en Jésus-Christ.
29 Et si vous êtes à Christ, vous êtes donc la postérité d'Abraham, héritiers selon la promesse. (Galates 3)
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Pour vous, frères, comme Isaac, vous êtes enfants de la promesse. (Galates 4)
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J'arrête ici pour l'instant, car en donnant ces quelques exemples je constate que même au niveau de la foi, il peut y avoir des déviances en nous, du genre de celles qu'on ne regarde qu'à l'homme Abraham et du lien de la foi que nous avons avec lui, alors que dans ces textes ce n'est pas ce qui est écrit.

Il n'est pas écrit que nous sommes ses enfants, mais que c'est du fils de la promesse que nous le sommes, la Promesse de Dieu c'est Christ venu en chair.
C'est Dieu qui, alors qu'il parlait par Parole a pris plus tard une forme d'homme pour que ses promesses se réalisent et nous deviennent accessibles. Ainsi la Promesse a pris une forme humaine et "Elle" est parvenue jusqu'à nous.

C'est de "Elle" la promesse dont nous sommes devenus sa postérité et elle venue pour nous assurer l'entrée dans son ciel de gloire.

Monique

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Hello Monique,

Il y a effectivement un certain nombre de promesses, pour Christ et pour les hommes.

Tu écris : Il n'est pas écrit que nous sommes ses enfants, mais que c'est du fils de la promesse que nous le sommes, la Promesse de Dieu c'est Christ venu en chair.

Tu as raison pour la seconde partie de ta phrase. Mais pour la première, je te rappelle 1 Jean 3 : 1-3 : « voyez de quel amour le Père nous a fait don, que nous soyons appelés enfants de Dieu ; c’est pourquoi le monde ne nous connaît pas, parce qu’il ne l’a pas connu. Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n’a pas encore été manifesté ; nous savons que quand il sera manifesté, nous lui serons semblables, car nous le verrons comme il est. Et quiconque a cette espérance en lui se purifie, comme lui est pur ».

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[quote="gerardh"]__

Hello Monique,

Il y a effectivement un certain nombre de promesses, pour Christ et pour les hommes.

Tu écris : Il n'est pas écrit que nous sommes ses enfants, mais que c'est du fils de la promesse que nous le sommes, la Promesse de Dieu c'est Christ venu en chair.

Tu as raison  pour la seconde partie de ta phrase. Mais pour la première, je te rappelle 1 Jean 3 : 1-3 : « voyez de quel amour le Père nous a fait don, que nous soyons appelés enfants de Dieu ; c’est pourquoi le monde ne nous connaît pas, parce qu’il ne l’a pas connu. Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n’a pas encore été manifesté ; nous savons que quand il sera manifesté, nous lui serons semblables, car nous le verrons comme il est. Et quiconque a cette espérance en lui se purifie, comme lui est pur ».

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Bonjour Gérard

Je parlais du point de départ. Le verset que tu cites est vrai bien sur, mais si tu te places dans le contexte des Ecritures par rapport à Abraham, eh bien "le don" ici c'est le Fils qui lui avait été promis et donc nous sommes sa postérité.

Donc ce que tu as écrit s'imbrique parfaitement dans tout le reste et je ne vois rien qu'il y ait de spécial ou de différent puisque tu écris que tu es d'accord pour la première partie "mais"......

Qu'y a-t-il dans ce passage de 1 Jean 3 qui ne rentre pas dans le cadre de ce que j'ai posté, selon toi ?

Bien à toi.

Monique

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Hello Monique,

Sauf erreur ou incompréhension de ma part, tu as écrit :

Il n'est pas écrit que nous sommes ses enfants

Tu pourrais mieux expliciter ta pensée.

Je suis bien sur d'accord sur le fait qu'Isaac était l'enfant de la promesse faite à Abraham.

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gerardh a écrit:__

Hello Monique,

Sauf erreur ou incompréhension de ma part, tu as écrit :

Il n'est pas écrit que nous sommes ses enfants

Tu pourrais mieux expliciter ta pensée.

Je suis bien sur d'accord sur le fait qu'Isaac était l'enfant de la promesse faite à Abraham.

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Nous ne sommes pas les enfants d'Abraham, mais nous sommes les enfants de la promesse qui lui a été fait, c'est à dire Christ, sinon nous serions de sa postérité terrestre et non spirituelle. Je pense que c'est très facile à comprendre, mais comme l'a dit Francine ailleurs, c'est très bien de se poser des questions les uns les autres, dès l'instant où on ne saisi pas le sens de sa pensée.

Monique