Dieu bénit aussi dans les petites choses

Dieu aime qu'on s'adresse à lui et qu'on lui demande de nous aider dans les grandes
choses, mais aussi dans toutes les petites choses du quotidien.

À tous les jours nous avons des dizaines de décisions à prendre, parfois sans même
nous en rendre compte. À chaque matin j'offre ma journée au Seigneur et remets tout
dans ses mains. Mais aussi tout au long de la journée lorsque je fais face à de petits
soucis je lui demande son aide et il me répond.

Pour Dieu il n'y a pas de petites demande ni de petites prières. Il est notre Papa et
désire notre bien parce qu'Il nous aime plus que tout ce que nous pouvons imaginer.

Tout à fait Silenne !!!

exactement Silenne, car en qui les paroles de Jésus ont pénétré et demeurent comme la puissance qui règle toutes ses pensées, inspire toutes ses décisions, peut demander à Dieu ce qu’il veut et être assuré de l’obtenir, car il ne voudra rien qui ne soit conforme à la volonté du Père.

Tout concoure au bien de ceux qui aiment Dieu !
Merci Daniel et Lerod pour vos interventions, que Dieu vous bénisse abondamment.

Je prie notre Père au nom de Jésus et j'avoue ne pas oser Le "déranger" pour de petites choses... Même si je vois Sa main dans toute ma vie!
J'espère ne pas vous heurter, bien sûr!

Lorsque nos enfants nous demandent quelque chose, que cela nous paraisse important
ou non, cela ne nous dérange pas. Comment peut-on « déranger » notre Père Céleste ?  

« Ne vous inquiétez de rien ; mais en toutes choses faites connaître vos besoins à Dieu
par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. Et la paix de Dieu qui
surpasse toute intelligence, gardera vos coeurs et vos pensées en Jésus-Christ.» ( Phillipiens : 4, 6 -7 )

« Et mon Dieu pourvoira à tous vos besoins selon sa richesse, avec gloire en
Jésus-Christ.» ( Phillipiens : 4, 19 )

« Si donc, méchants comme vous l'êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos
enfants, à combien plus forte raison votre Père qui est dans les cieux donnera-t-il de
bonnes choses à ceux qui les lui demandent.» ( Matthieu : 7, 11 )

« Nous avons auprès de lui cette assurance que si nous demandons quelque chose
selon sa volonté, il nous écoute. Et si nous savons qu'il nous écoute, nous savons que
nous possédons la chose que nous lui avons demandée, quelle qu'elle soit.» ( 1 Jean : 14-15 )

Oui, Silenne, je sais...
Je peux m'adresser plus facilement au Seigneut Jesus, mais beaucoup moins au Père.
Mais chacun a sa relation avec Lui!

D'accord je comprends.

Clara a écrit:Oui, Silenne, je sais...
Je peux m'adresser plus facilement au Seigneut Jesus, mais beaucoup moins au Père.
Mais chacun a sa relation avec Lui!

Je m'adresse presque exclusivement qu'à Jésus christ

Perso c'est plus facile pour moi de demander pour les autres, pour moi....je n'y pense pas trop. (je parle des petites choses)

Esther a écrit:Perso c'est plus facile pour moi de demander pour les autres, pour moi....je n'y pense pas trop. (je parle des petites choses)

Coucou Ether,

J'ai eu l'impression en te lisant que c'était moi qui avait écrit ces mots.

Je te comprends donc tout à fait ! ! !

Personnellement je m'adresse aussi à Jésus, mais le plus souvent à notre Père. Je lui parle
tout au long de la journée. Pas seulement pour demander, mais aussi pour le louer. Et lorsque
je demande quelque chose ce n'est pas uniquement pour moi et je le fais sous forme de prières
avec des actions de grâce.

Je crois aussi que le Seigneur nous écoute, nous aide pour tout, même pour les toutes petites choses ; Il nous demande de prier sans cesse. Pour moi, cela veut dire, pour les grandes et petites choses.

Personnellement, j'ai du mal à différencier Jésus et Dieu le Père ; Jésus lui-même a dit : "moi et le Père nous sommes un" (Jean 10:30)

silenne a écrit:Personnellement je m'adresse aussi à Jésus, mais le plus souvent à notre Père. Je lui parle
tout au long de la journée. Pas seulement pour demander, mais aussi pour le louer. Et lorsque
je demande quelque chose ce n'est pas uniquement pour moi et je le fais sous forme de prières
avec des actions de grâce. Holy4

Je suis quasiment dans le même cas sauf que je prie quasi jamais Jésus. je m’adresse pratiquement toujours à Yahweh. Je crois que Jésus m'impressionne trop ce qui est paradoxal puisqu'il est censé être plus proche de moi que le Père.
Sinon, je trouve notre diversité dans nos rapport à Dieu très touchante.

"Au point de vue chrétien (et en dépit de toute esthétique), toute existence de poète est péché, le péché de se livrer à des fictions au lieu d’être, de se rapporter au bien et au vrai par l’imagination au lieu d’être ces choses, c’est-à-dire au lieu de s’efforcer sur le plan existentielle de les vivre de façon existentielle. L’existence de poète dont nous parlons ici diffère du désespoir en ce qu’elle a l’idée de Dieu et se passe devant Dieu, mais elle est dialectique dans une immense mesure et constitue une espèce d’impénétrable imbroglio dialectique empêchant de voir dans quelle mesure elle a l’obscure conscience d’être péché. Un semblable poète peut avoir un besoin religieux très profond et son désespoir comporte l’idée de Dieu. Avant tout, il aime Dieu, son unique consolation dans son tourment secret que pourtant il aime aussi et refuse d’abandonner. Il est tout disposé à être lui-même devant Dieu, sauf au point précis où son moi pâtit ; là, dans le désespoir, il ne veut pas être lui-même ; il espère que l’éternité fera disparaitre cette infortune, mais ici-bas, malgré toute la souffrance qu’il endure à ce sujet, il ne peut se résoudre à s’en charger, à s’en humilier en croyant. Il n’en continue pas moins de se rapporter à Dieu et cette piété fait toute sa joie profonde ; pour lui, la pire épouvante serait d’avoir à se passer de Dieu, « ce serait à désespérer » ; et en fait pourtant, il se permet, peut-être à son insu, de se représenter Dieu un peu autrement qu’Il n’est, un peu à la façon d’un tendre père qui se plie aisément à l’unique désir de son enfant. Comme l’amant qu’une passion malheureuse a rendu poète trouve sa félicité à chanter le bonheur de l’amour, il devient aussi le poète de la religiosité. Dans ce domaine, il est devenu malheureux ; il comprend vaguement qu’il est exigé de lui qu’il s’affranchisse de ce tourment, c’est-à-dire qu’il s’en humilie en croyant et s’en charge comme d’un élément de son moi ; car il veut le tenir en-dehors de lui, mais de la sorte justement, il le garde fixé en lui, bien qu’à vrai dire cette conduite signifie à ses yeux qu’il s’en sépare autant que possible et s’en délivre autant qu’un homme en est capable (et il faut l’entendre à rebours, toute parole d’un désespéré étant exacte à condition d’en renverser le sens). Mais il ne peut s’en charger en croyant, c’est-à-dire qu’en dernière analyse il ne le veut pas, ou encore, qu’ici son moi plonge dans l’obscurité." (Soren Kierkegaard)

Merci aux administrateurs pour votre vigilance. Et merci à tous pour vos commentaires.
Je trouve très intéressant la relation que chacun entretient avec Dieu et le Seigneur Jésus.

Ce matin le verset 6 dans Matthieu chapitre 6, a particulièrement attiré mon attention. Je l'avais lu
à plusieurs reprises auparavant mais cette fois cela m'a confirmé que je suis en accord avec la Parole
en faisant part de mes besoins directement à Dieu le Père.

« Mais quand tu pries, entre dans ta chambre, ferme ta porte, et prie ton Père qui est là dans le
lieu secret; et ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra.» ( Matthieu : 6, 6 )