Marc 12,7 Ces vignerons se dirent entre eux : Voici l'héritier ! Allons-y, tuons-le, et l'héritage sera à nous !

Dieu nous a confié un jardin intérieur que nous devons cultiver pour lui et dont nous pouvons manger des fruits.
Si nous croyons que nous pouvons garder un coin à l'abri de sa récolte, nous sommes en danger de faire du mal au Fils de Dieu.

S'il y a des pensées de colère contre untel, même pas chrétien que nous cultivons avec jalousie.
Ou des pensées de ressentiment que nous caressons de temps en temps pour nous "souvenir".
Ou des pensées de luxure ou de gourmandise que nous aimons secrètement.
Si nous aimons regarder des infos pour pester contre le gouvernement.
Si nous nous réservons comme récréation des films plein de vices ou d'exaltation de la rébellion.
Si nous nous apaisons en regardant vers un compte en banque bien garni, ou vers un bulletin médical sans alerte.
Si nous aimons nous asseoir et rejetons le fardeau que Dieu voudrais mettre sur nos bras.

Seigneur, toutes mes terres t'appartiennent, je désire les cultiver pour toi, et pouvoir t'en apporter les beaux fruits.

Ton pardon couvre toutes mes rancœurs, je remets toutes les dettes à chacun de mes débiteurs, plus personne ne me doit rien.
Je crie non au péché, je le hais de ta haine, Jésus-Christ mon sauveur a payé sur la croix pour m'en libérer.
Je te donne mon argent, je te donne mon temps, soit ma joie, ma nourriture, ma sécurité, mon plaisir tout le temps !

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Bonjour,

L'héritier, c'est le Christ.

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gerardh a écrit:__
L'héritier, c'est le Christ.

Parfois tu écris bien trop long, mais là c'est trop court pour comprendre ta réflexion.

Oui, celui qui vient vers nous pour récolter les fruits pour Dieu c'est notre Sauveur Jésus-Christ.
Mais si nous lui refusons un accès à une parcelle de notre coeur, c'est la preuve que nous avons la même réflexion que ces vignerons "l'héritage sera à nous"

Bonjour Gadou et à tous

Alors que j'étais en train de finir d'écrire ce qui est en dessous, j'ai ouvert le lien du forum et j'ai lu ton intervention qui m'a beaucoup fais plaisir car cela va exactement dans le même fil que ce que je viens de terminer.

Alors avec ta permission, je me permets d'insérer mon petit document.

Monique

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Bonjour à tous.

Je voudrais partager avec vous une expérience qu'il m'a été donné de vivre par Le Seigneur l'Esprit, sur la confession des péchés.

Il y a de cela des années en arrière, même après avoir été convertie à Jésus, je me souviens que lorsque je faisais du mal à une personne en paroles ou en action, je disais ensuite à la personne "excuses-moi" car ayant conscience du mal que j'avais fais.

Cela a duré très longtemps jusqu'où jour où le Seigneur a voulu régler cette situation vraiment malsaine puisque dans ce cas je ne faisais aucun cas de la personne, mais que je cherchais juste à me déculpabiliser du mal que j'avais fait.

Le Saint Esprit m'a alors montré la valeur de ce qu'est un véritable repentir pour celui qui a péché, et la vraie valeur du pardon de celui qui a été offensé envers celui qui est venu vers lui pour régler la chose.

Je propose de mettre quelques textes. Dans 1 Jean 1 v 9 il est écrit :
Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute iniquité.

Puis aussi ce texte de Luc 17 v 3 et 4, où c’est Jésus Lui-même qui parle sur ce sujet similaire du pardon pour les péchés. Il dit:

Si ton frère pèche, reprends-le, et s'il se repent, pardonne-lui; et si sept fois le jour il pèche contre toi, et que sept fois il retourne à toi, disant: Je me repens, tu lui pardonneras.

Il y a également cette même pensée et cette même parole dans Marc 11 v 25, où là encore c’est Jésus qui parle. Il dit :
25 Et quand vous ferez votre prière, si vous avez quelque chose contre quelqu'un, pardonnez-lui, afin que votre Père aussi, qui est dans les cieux, vous pardonne vos fautes.

Ici les deux camps sont concernés. Il y a celui qui a quelque chose contre quelqu'un, et s'il a quelque chose contre ce quiconque, c'est parce celui-là lui aura aussi péché de son côté.

Ici et comme les autres fois, la notion de demande de repentance n'est pas évoquée, puisque c'est par Le Saint Esprit et Lui Seul, qu'elle vient dans le cœur de l'homme pour le convaincre et faire venir à La Lumière le mal qui a été fait et la rancœur qui se trouverait dans le cœur de celui à qui le mal a été fait.

Maintenant dans la lettre de Paul aux Ephésiens. Au chapitre 4 v 32, il dit :
32 soyez bons les uns envers les autres, compatissants, vous pardonnant les uns aux autres comme Dieu aussi, en Christ, vous a pardonné.

Et pour terminer, dans la lettre écrite aux Colossiens au ch. 3 v 13 Paul dit encore ceci:
13 vous supportant l'un l'autre et vous pardonnant les uns aux autres si l'un a un sujet de plainte contre un autre; comme aussi le Christ vous a pardonné, vous aussi faites de même.

De tous ces textes cités, à aucun endroit, que ce soit Jésus ou Paul ne font mention d’une demande de repentir, ni une demande de confession de péchés.
Je reprends le verset de Luc 17 v3, où il est écrit :
Si ton frère pèche, reprends-le, et s'il se repent, pardonne-lui.

Ici, il n'est pas question de demander à son frère de se repentir car personne n'a le droit de faire ça. Par contre ce que Jésus demande, c'est d'aller voir son frère (seul à seul comme c'est dit autre part) et de lui montrer à quel endroit il a péché et de le reprendre. Ce n'est pas du tout la même chose..

Ici ce n'est pas pour notre plaisir ou pour régler des comptes qu'on est appelé à agir de cette manière, mais uniquement en vue d'être une aide pour celui qui a péché, et dont il ne s'est peut être pas rendu compte de la gravité de la chose…. cela arrive parfois.

Après avoir repris notre frère, en lui montrant là où il s'est égaré sur le chemin, notre travail à nous, s'arrête là.

La suite c'est: Et s'il se repent. Ca veut dire que s'il veut se repentir, cette décision lui appartient à lui seul. Nous n'avons pas le droit de le forcer à se repentir et ceci d'autant plus que Jésus Lui-même ne l'a jamais fait envers quiconque.

Aucun homme si parfait soit-il ne peut demander à un autre de se repentir ou de confesser ses péchés, parce que celui qui demande cette chose, est tout aussi pêcheur que celui qui a péché.
Seul un homme sans péché, c'est-à-dire Jésus venu en chair aurait pu le faire, mais on verra plus loin que même Lui ne s'est jamais permis de faire cette chose.

Je reviens au verset. Jésus dit: Si vous avez quelque chose contre quelqu'un, que cette personne soit chrétienne ou non, eh bien pardonnez, dit Jésus. C'est tout.
En fait si on a quelque chose contre quelqu'un c'est inévitablement parce que ce quelqu'un aurait mal agi à notre égard, mais voyez aussi que Jésus dit ensuite, "si vous avez quelque chose contre quelqu'un, pardonnez-lui".

Cela veut dire que, suite au mal que cette personne nous a fait, on lui en veut. Ici en France, on dirait que maintenant on a une dent contre elle.
Alors, dans ce cas précis, sommes-nous meilleurs que la personne qui nous a offensé ? Pour moi la réponse sera "non". Alors pour résoudre le problème qui est maintenant des deux côtés, eh bien selon Dieu, c'est de ne rien faire, mais de pardonner.

Dans tous ces exemples, ce que je vois, c'est ce que c'est à moi qu'il est demandé de faire envers une personne quelle qu'elle soit qui m'aurait offensé
Mais dans le cas où c'est moi qui aurait offensé la personne, que se passe t-il ?

Eh bien voilà l'endroit où j'ai moi-même été enseignée sur ce point précis. Avant lorsque je commettais une faute envers "un quiconque" qu'il soit du Corps de Christ ou une personne non converti, je disais tout simplement à la personne: Excuse-moi ou encore pardonne-moi et c'est tout.
Pour moi, à ce moment là la chose était réglée. Et vous, qu'en pensez-vous ?

En fait en agissant comme je le faisais, je ne faisais aucun cas de la personne que j'avais offensé et c'est là qu'un jour Le Saint Esprit me montra la chose et que je fus enseigné par Lui.
Désormais lorsque je vois que j'agi avec injustice avec une personne, ou que je l'ai offensé, je me mets à la disposition de cette personne et ce sera par son seul bon vouloir que je serais ou non pardonnée.

Je lui dis: Je te prie d'accepter mes excuses et si elle les accepte, c'est une faveur qu'elle me fait et que je vois si elle aussi à l'Esprit de Christ, l'Esprit de pardon en elle.

Le fait que je m'abaisse devant la personne pour la prier de me pardonner, me montre que l'orgueil a disparu de moi, et c'est de manière entièrement naturelle que je me mets à la disposition de celui que j'ai offensé pour recevoir d'elle son pardon si elle le veut bien.

Et pour celui ou celle qui me remettra ma faute montrera par là qu'elle ne s'élève pas au dessus de moi, car elle aussi commet et commettra encore des fautes.
Dans la lettre aux Ephésiens ch 4 Paul dit ceci:
32 soyez bons les uns envers les autres, compatissants, vous pardonnant les uns aux autres comme Dieu aussi, en Christ, vous a pardonné.

Voilà vous pardonnant réciproquement les uns aux autres…. Y a-t-il ici une demande quelconque de confessions de péchés ou de demande de repentance parce qu'on nous aurait offensés ou bien qu'on aurait offensé notre prochain ?
Non, nulle trace de ça ici.

Il y a aussi le texte de Colossiens 3 où Paul dit de se supporter l'un l'autre et se pardonnant les uns aux autres, si l'un a un sujet de plainte contre un autre; comme aussi le Christ vous a pardonné, vous aussi faites de même.
Ici Paul dit que même si on a un sujet de plainte envers l'autre, eh bien si on connaît Christ comme il se doit d'être connu, eh bien on passera sur la faute de l'autre et on le pardonnera.

Il dit: si l'un de vous par exemple, a un sujet de plainte contre un autre; comme aussi le Christ vous a pardonné, vous aussi faites de même.
Donc avant de revenir sur cette parole de Paul, allons au verset de 1 Jean 1 où il est écrit:
Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute iniquité.

Partout et dans tous les passages bibliques qui ont été cités plus haut, à aucun endroit il n'est demandé à la personne de se repentir, ni de confesser ses péchés, mais si la personne le fait, c'est parce qu'elle sait qu'elle a été déjà pardonné par celui qu'elle a offensé.
Et ceci que d'autant plus dans le texte cité de 1 Jean 1, rien ne dit que c'est une confession envers des hommes dont il est question.

Mais bon, ce n'est qu'un détail, car ici on parle en tant que principe général et en tant que principe général, je dirais cue n’est qu'après avoir connu Le Fils de Dieu qui est Celui qui nous pardonne tous nos péchés commis, que la repentance remonte d’elle-même du plus profond de notre cœur s'il s'avérait que nous pêchions envers un frère ou une sœur.

Et que personne n'a le droit de demander à son prochain de confesser ni de se repentir du mal qu'il nous aurait fait, car c'est un principe divin qui devrait être en chacun de ceux qui appartiennent à Christ de venir vers la personne qu'il aurait offensé pour lui demander son pardon.

Et que la personne qui aura été offensé pardonnera sans aucun arrière pensée et sans rien demander en échange de son pardon, celui qui l’aura offensé.

C’est la façon dont nous pardonnerons à celui qui nous aura offensés que la repentance remontera d’elle-même du plus profond du cœur de celui qui nous aura offensés.
C'est la personne qui aura pêché qui, d'elle-même viendra le confesser, alors même qu'on ne lui aura rien demandé.

Voilà pourquoi Jésus et l’apôtre Paul à sa suite font le lien entre Jésus et ceux qui sont de Lui par rapport aux pardons des péchés.
Et voyez que Jésus et Paul à sa suite ne cite jamais la repentance quand il y a un conflit entre deux personnes, car personne ne peut la provoquer, à part le Saint Esprit.

Non Lui, ce qu’il demande, c’est de pardonner : Ca c’est notre part et pour ce qui concerne la repentance ou la confession des péchés de celui qui aura péché, eh bien, c’est le rôle du Saint Esprit, pas le notre.

Pour ce qui concerne Jésus, jamais il n'a demandé à quiconque de savoir en quoi il avait péchés, pas plus que le nombre de péchés, pas plus que de lui demander de se repentir.
Il y a pour cela en tant qu'exemple, le cas du paralytique de Matthieu 9, de la femme à la perte de sang de Matthieu 9, de la femme de mauvaise vie de Luc 7 ou encore de l'aveugle de marc 10 pour ne citer que ceux-là. Jésus leur a remis leurs péchés à tous, sans rien leur demander en échange de même qu'Il nous les a tous remis quand il est venu à nous la première fois.

Jésus pardonne gratuitement et ne demande aucun compte à personne.
Alors doit-il en être autrement pour nous ?

Et puis d'ailleurs Jésus ne sait-il pas que l'homme est un pêcheur par nature et qu'il n'a jamais demandé à le devenir.
Comment donc Jésus pourrait-il nous demander de nous repentir de ce qu'on n'a pas cherché à être.
Voilà pourquoi à la fin de la lettre de Luc, Jésus a demandé d'aller "prêcher la repentance "et" le pardon des péchés, c'est-à-dire comme des choses déjà acquise en Lui et pas à produire par nous-mêmes.

Monique

Dieu nous a confié un jardin intérieur que nous devons cultiver pour lui et dont nous pouvons manger des fruits.
Si nous croyons que nous pouvons garder un coin à l'abri de sa récolte, nous sommes en danger de faire du mal au Fils de Dieu.

Amen

Oui, notre Père nous fait confiance pour faire fructifier les fruits de son jardin parce que nous en sommes digne. Pas à cause de nos mérites mais par le sang versé de Jésus !

Il est facile de se plaindre :

Pourquoi le mal ?
Pourquoi je suis affecté par une maladie ?
Pourquoi j'ai telle faiblesse dans ma chair ?

Nous devons louer Dieu pour ce qu'il nous donne. Nous avons tout reçu pour faire face à nos difficultés. L'esprit de plainte n'est pas un fruit du Seigneur !

L'Esprit du Seigneur est un esprit de victoire qui nous donne la force de demander les biens promis en Jésus.

Au nom de Jésus, je chasse la plainte de ma vie. Je chasse les ténèbres et l'anxiété. Je dis à la maladie de sécher comme l'arbre qui ne donnait pas de fruit. Au nom de Jésus je tends les bras vers la victoire acquise par Christ ! Pour moi et pour tous ceux qui croient en Lui!

Toi qui lit ça, Dieu dans son Amour te dit d'abandonner les chaînes qui sont dans ta tête et qui t'empêche d'avancer vers Christ afin que tu sois victorieux par le sang de l'agneau. Qu'il est bon de louer Dieu pour tout ce qu'il va nous donner à partir d'aujourd'hui !

Gadou a écrit:Dieu nous a confié un jardin intérieur que nous devons cultiver pour lui et dont nous pouvons manger des fruits.
Si nous croyons que nous pouvons garder un coin à l'abri de sa récolte, nous sommes en danger de faire du mal au Fils de Dieu.

S'il y a des pensées de colère contre untel, même pas chrétien que nous cultivons avec jalousie.
Ou des pensées de ressentiment que nous caressons de temps en temps pour nous "souvenir".
Ou des pensées de luxure ou de gourmandise que nous aimons secrètement.
Si nous aimons regarder des infos pour pester contre le gouvernement.
Si nous nous réservons comme récréation des films plein de vices ou d'exaltation de la rébellion.
Si nous nous apaisons en regardant vers un compte en banque bien garni, ou vers un bulletin médical sans alerte.
Si nous aimons nous asseoir et rejetons le fardeau que Dieu voudrais mettre sur nos bras.

Seigneur, toutes mes terres t'appartiennent, je désire les cultiver pour toi, et pouvoir t'en apporter les beaux fruits.

Ton pardon couvre toutes mes rancœurs, je remets toutes les dettes à chacun de mes débiteurs, plus personne ne me doit rien.
Je crie non au péché, je le hais de ta haine, Jésus-Christ mon sauveur a payé sur la croix pour m'en libérer.
Je te donne mon argent, je te donne mon temps, soit ma joie, ma nourriture, ma sécurité, mon plaisir tout le temps !

Merci pour l’exhortation Gadou.

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Bonjour Gadou,

Tu n'as pas compris ma réflexion : l'héritier, c'est le Christ.

Les chefs du peuple sont contraints de se reconnaître dans la parabole accablante des méchants cultivateurs. Remarquez comment est désigné (dans Marc seulement) le dernier envoyé du Maître de la vigne: «Ayant donc encore un unique fils bien-aimé…» (v. 6). Cette expression rappelle la parole de l'Éternel à Abraham: «Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes» (Gen. 22 v. 2) et traduit d'une manière émouvante les affections du Père pour le Bien-aimé qu'il a sacrifié pour nous !

Donc Dieu a un Fils, un Fils unique et bien-aimé ; c’est lui qu’il enverra, et s’il y a une étincelle de bonté dans la race humaine, ils auront certainement du respect pour lui. On aurait pu trouver des motifs d’antipathie, et même de haine, dans les meilleurs des prophètes et des rois, mais dans le Fils il ne peut y avoir aucun motif de haine. Hélas ! Il a dû dire : « Ils me font la guerre sans cause. Pour mon amour, ils ont été mes adversaires... Ils m’ont rendu le mal pour le bien, et la haine pour mon amour » (Ps. 109:3-5).

La venue du Fils manifeste l’état réel du cœur de l’homme. Israël voudrait bien d’un royaume sans Christ, et les Gentils, d’un monde sans Dieu ; c’est ce qu’expriment les cultivateurs de la parabole : « Celui-ci est l’héritier ; venez, tuons-le, et l’héritage sera à nous ». Et aujourd’hui, le monde entier se comporte comme ces chefs d’Israël aux jours du Seigneur. Il apparaît de plus en plus clairement que la volonté de l’homme est d’exclure Dieu de Son propre monde.

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gerardh a écrit:
Et aujourd’hui, le monde entier se comporte comme ces chefs d’Israël aux jours du Seigneur. Il apparaît de plus en plus clairement que la volonté de l’homme est d’exclure Dieu de Son propre monde.

Le monde entier git dans le méchant, mais toi, chrétien sauvé, Dieu t'as confié une vigne, sa vigne, quel bonheur de cultiver la totalité du terrain pour le roi !

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Gadou,

AMEN ! Mais il n'en est pas question dans ce passage.

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gerardh a écrit:__
AMEN ! Mais il n'en est pas question dans ce passage.

Bien sur que si.
La bible n'est pas écrite pour les autres, elle est pour nous.
Chaque passage peut nous interpeller personnellement.
Ici on voit ce qu'on fait les pharisiens, et on peut se demander: et moi qu'est-ce que je fais ?

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Gadou,

La quintessence de la Parole de Dieu, ce n'est pas nous, mais le Christ.

C'est en premier lieu Lui dont il est question dans ce passage.

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gerardh a écrit:
La quintessence de la Parole de Dieu, ce n'est pas nous, mais le Christ.

C'est en premier lieu Lui dont il est question dans ce passage.

Mais c'est bien de lui que je parle. Tu peux relire exactement ce que j'ai écris et ce que tu as écris, tu ne parles pas plus de lui que moi.
Toi tu lis ce passage et tu considères le monde qui rejette le Christ.
Et moi je lis ce passage et je considère des chrétiens qui rejettent le Christ d'une partie de leur vie.
A aucun moment je n'ai minimisé tes propos, j'ai simplement proposé un point de vue supplémentaire.
Pourquoi tiens-tu à ce point à dire que ce que je fais n'est pas juste ?
Où est le problème ? Est-ce que c'est seulement histoire d'avoir raison ? Je ne comprends pas ta démarche.

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Gadou :

Je répète : l'héritier donc parle la parabole, c'est le Christ, pas nous.

Bien sur, les hommes méchants, c'est le peuple, dont indirectement nous : mais ce n'est pas la leçon principale de cette parabole.


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gerardh a écrit:
Je répète : l'héritier dont parle la parabole, c'est le Christ, pas nous.

Où as-tu lu que j'avais écris le contraire ?????? Je comprends ton insistance maintenant.
Mais jamais je n'ai ni dit ni pensé que j'étais l'héritier de la vigne, au contraire depuis le début j'explique que c'est lui le propriétaire.
Et que nous devons lui remettre sa part de récolte sur la totalité de la vigne.
J'aimerai bien savoir comment tu as fait pour comprendre l'inverse de ce que j'ai écris 5 ou 6 fois ???
J'espère que les autres lecteurs ont plus de perspicacité !

Celui a qui le maître à loué la vigne c'était les juifs, pas le Christ. Tu es bien d'accord ?
Et aujourd'hui, ceux a qui le maître prête un corps une âme et un coeur à gérer pour lui, c'est nous, ce n'est pas le Christ, on est bien d'accord ?

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Hello Gadou,

Il faut me pardonner, car je suis lent à comprendre !

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gerardh a écrit:
Il faut me pardonner, car je suis lent à comprendre !

Pas de souci, et merci d'avoir persévéré jusqu'à ce qu'on se comprenne.