Le légalisme

Bonjour à tous,

Dans votre marche chrétienne l’on vous a peut-être déjà traité de légaliste, Il est donc notoire que sa connotation est péjorative. Alors, l’une des définitions que j’ai trouvé du légalisme est le souci de respecter scrupuleusement la lettre de la loi et les formes qu’elle prescrit, sans que le cœur et la conscience soient réellement engagés devant Dieu. De ce fait, doit-on traiter de légaliste un chrétien qui a pour soucis de mettre en pratique la loi de Dieu ? Ou qui s’attèle à régler ses actions et pensées selon les commandements de Dieu ?

I-Relation entre l’amour et les commandements

Il faut être claire et calé dessus, les deux sont intimement liés : 1 Jean 5:3 « Car l'amour de Dieu consiste à garder ses commandements. Et ses commandements ne sont pas pénibles, »

La bible nous dit qu’ayant été justifié, il nous convient de marcher comme observateur de la loi ou encore de produire de bons fruits .Ni Jésus-Christ ni ses apôtres n’ont enseigné à violer certains commandements de Dieu pour une cause que nous jugions juste , en effet personne ne peut conseiller Dieu qui a lui-même donné ses commandements.

pécher c’est transgresser la loi de Dieu, observer les commandements de Dieu nous conduit à l'amour comme le précise 1 Timothée 1:5 « Le but du commandement, c'est une charité venant d'un cœur pur, d'une bonne conscience, et d'une foi sincère. » si l’on s’éloigne de ce but nous nous égarons comme dit la suite au verset 5. Il est important de préciser que nous trébuchons tous , ainsi demandons pardon à Dieu puis relevons-nous avec le souci et l’engagement d’observer ses commandements .

Jésus-Christ après avoir pardonné les péchés de la femme prise en adultère, lui a dit de ne plus pécher, il a eu compassion d’elle et n’a pas trouver raison à son péché il a fait appel à la miséricorde plutôt qu’au sacrifice ; Jean 8:11 « Elle répondit: Non, Seigneur. Et Jésus lui dit: Je ne te condamne pas non plus: va, et ne pèche plus. »

II- choisir parmi les commandements !

La bible ne nous donne aucun choix sur certains commandements à observer et d’autres à négliger, voici un extrait en Jacques 2:11 « En effet, celui qui a dit: Tu ne commettras point d'adultère, a dit aussi: Tu ne tueras point. Or, si tu ne commets point d'adultère, mais que tu commettes un meurtre, tu deviens transgresseur de la loi. »

Point essentiel

le chrétien qui a le soucis de mettre en pratique les commandements de Dieu tout en croyant au pardon de ses pêchés antérieur et de ses chutes dans la courses vers le royaume des cieux au nom de Jésus-Christ n’a pas le droit d’être traité de légaliste.

Jésus a dit:

4 Demeurez en moi, et je demeurerai en vous. Comme le sarment ne peut de lui-même porter du fruit, s'il ne demeure attaché au cep, ainsi vous ne le pouvez non plus, si vous ne demeurez en moi.
5 Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire.
6 Si quelqu'un ne demeure pas en moi, il est jeté dehors, comme le sarment, et il sèche ; puis on ramasse les sarments, on les jette au feu, et ils brûlent.
7 Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé.
8 Si vous portez beaucoup de fruit, c'est ainsi que mon Père sera glorifié, et que vous serez mes disciples.
9 Comme le Père m'a aimé, je vous ai aussi aimés. Demeurez dans mon amour.

Jésus n'a jamais demandé à ce qu'on l'imite.

Paul a dit dans Romains 10

10 1 Frères, le vœu de mon cœur et ma prière à Dieu pour eux, c'est qu'ils soient sauvés.
2 Je leur rends le témoignage qu'ils ont du zèle pour Dieu, mais sans intelligence :3 ne connaissant pas la justice de Dieu, et cherchant à établir leur propre justice, ils ne se sont pas soumis à la justice de Dieu ;
4 car Christ est la fin de la loi, pour la justification de tous ceux qui croient.

Paul est en train de spécifier que la justification est uniquement pour ceux qui croient que Christ est la fin de la loi.

Christ est la fin de la loi pour................avec pour but la justification de tous ceux qui croient en Lui. Ceux qui persistent dans la loi montrent par là qu'ils ne l'ont pas connu ou pas encore comme il le faudrait.

Ceux qui persistent dans la loi, se privent eux mêmes de la justification.

Monique

Ne pas oublier que tous ceux qui veulent pratiquer les commandements de la loi, sont tenus de ne pas en oublier un seul même le moindre des commandements, sinon tous le travail de cet homme dans sa pratique de la loi sera réduit à néant.

Ce qui veut dire que tant que tu pratiques les commandements de la loi, tu vis, mais il suffit que tu en omettes un seul, tu meurs.

5 En effet, Moïse définit ainsi la justice qui vient de la loi : L'homme qui mettra ces choses en pratique vivra par elles. Par ces choses (romains 10)

Monique

Aime Giresse a écrit:Bonjour à tous,

Point essentiel

le chrétien qui a le soucis de mettre en pratique les commandements de Dieu tout en croyant au pardon de ses pêchés antérieur et de ses chutes dans la courses vers le royaume des cieux au nom de Jésus-Christ n’a pas le droit d’être traité de légaliste.

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Profession de foi du forum

8. Nous croyons que l'homme est sauvé par la foi en l'œuvre suffisante du Christ à la croix. Cette foi s’accompagne toujours d’une véritable repentance. La justification provient de la grâce seule.

Monique

Monique a écrit:

Aime Giresse a écrit:Bonjour à tous,

Point essentiel

le chrétien qui a le soucis de mettre en pratique les commandements de Dieu tout en croyant au pardon de ses pêchés antérieur et de ses chutes dans la courses vers le royaume des cieux au nom de Jésus-Christ n’a pas le droit d’être traité de légaliste.

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Profession de foi du forum

8. Nous croyons que l'homme est sauvé par la foi en l'œuvre suffisante du Christ à la croix. Cette foi s’accompagne toujours d’une véritable repentance. La justification provient de la grâce seule.

Monique

Bonjour Monique,

"Cette foi s'accompagne toujours d'une véritable repentance.".

Bonjour,

Le légalisme

Si les paroles de Jésus étaient le plus souvent marquées par la grâce, nous l’entendons pourtant s’exprimer avec la plus grande sévérité lorsqu’il s’adresse aux chefs religieux des Juifs qui utilisaient leur prétendue observation de la loi pour nourrir leur orgueil. En observant scrupuleusement certains commandements, et en négligeant les autres, on peut se donner l’illusion d’être juste, et tenter de la donner à ceux qui nous entourent. C’est l’état que le Seigneur dénonce avec véhémence dans le réquisitoire impressionnant de Matthieu 23. «Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! » Cet état d’esprit — qu’on appelle le légalisme — conduit à ajouter des commandements humains, ou même issus de la Loi de Moïse, à la Parole de Dieu sur la grâce, et ainsi à la déformer et à l’annuler. Le livre des Actes et les épîtres placent devant nous une autre forme de légalisme, celle qu’a fait naître le passage progressif de la dispensation de la loi à celle de la grâce. Il est compréhensible que les Juifs, attachés depuis leur enfance à leur loi, à leurs ordonnances, à leurs privilèges, aient eu de la peine à abandonner le système judaïque. L’épître aux Hébreux a eu pour but de mettre fin à cette situation intermédiaire. Soyons nous-mêmes gardés de nous placer, d’une manière ou d’une autre, sous le joug de la loi, et d’être ainsi privés de notre liberté en Christ.

En rapport avec le salut, le légalisme substitue les œuvres de l’homme au don de la grâce et de la foi, seul moyen de salut que Dieu donne (Gal. 2:16 ; Éph. 2:8,9). C’est en fait la religion de Caïn. Dans la vie chrétienne, le légalisme remplace la piété et la communion avec Christ par des règles destinées à tranquilliser la conscience. La vraie liberté chrétienne est perdue. C’est cet aspect qui nous intéresse particulièrement. Dès le début, ces règles sont en effet personnifiées dans les actes de deux hommes, Caïn et Abel.

Qu’a fait l’homme sous la loi ? Après avoir enfreint la loi, il a rejeté Christ seul moyen de salut. La loi était parfaite, sainte, bonne, divine dans sa nature, juste dans toutes ses exigences ; mais la chair en l’homme, à qui elle était donnée comme une mise à l’épreuve, la rendait parfaitement inutile comme moyen de venir à Dieu et d’acquérir une justice devant Lui. Elle était « faible par la chair » (Rom. 8:3). La loi est donc donnée, non comme règle à la chair, mais pour lui fermer la bouche, pour que tout le monde soit « coupable devant Dieu », pour apporter à l’homme la connaissance du péché et le rendre conscient qu’il est infiniment pécheur, pour produire la colère, pour faire mourir ; en un mot pour tuer la vie de l’homme et non pour le sauver. Le Seigneur illustre le changement apporté par sa venue dans deux paraboles : celle du vieil et du nouvel habit et celle du vin et des outres.

Il s’agissait de prouver, et cela ne pouvait l’être par aucun autre moyen, que l’homme dans la chair ne peut pas s’approcher de Dieu. La loi ne suppose pas a priori ni l’homme perdu : elle va le prouver, — ni l’homme incapable d’une justice : elle lui donne le moyen de montrer cette capacité, s’il la possède, en lui disant : « Fais cela et tu vivras ». Voilà aussi pourquoi elle ne dévoile pas d’emblée l’état du monde. Cet état ne peut être manifesté que par la longue histoire d’un peuple placé sous la loi, en présence de tous les appels de Dieu et finalement en présence d’un Sauveur. Les docteurs attachés au judaïsme ne contestaient pas la grâce, mais parlaient de perfectionner le chrétien par la loi. C’était en même temps un moyen de rester attachés au passé, de ne pas rompre avec la chair, de retenir à tort la loi comme règle de vie et de ne pas tourner le dos au monde. La loi, donnée de Dieu, devenait l’instrument de Satan pour détourner le chrétien de Dieu et de Christ.

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gerardh a écrit:Soyons nous-mêmes gardés de nous placer, d’une manière ou d’une autre, sous le joug de la loi, et d’être ainsi privés de notre liberté en Christ.

Je ne sais pas si tu es l'auteur de ce paragraphe ou si tu l'as copié-collé de quelque part mais il y a un truc qui cloche, gerardh.
Tu parles ici de ta liberté en Christ, n'est-ce pas ? Ne sont-ce que des mots ou bien goûtes-tu réellement aux délices de cette liberté en Christ ? Et si donc tu y goûtes, comment pourrais-tu encore de quelque manière que ce soit être tenté de retourner sous ce que tu as raison d'appeler le "joug de la loi"?

Ce n'est pas du tout cohérent. Personnellement j'ai vécu sous ce régime de la loi durant des décennies. Et aujourd'hui je goûte à cette merveilleuse liberté en Christ dont tu parles. J'étais en enfer et me voilà au paradis. J'étais mort et me voilà vivant. Comment pourrais-je trouver quoi que ce soit d'attirant dans ce que j'ai laissé derrière moi et que je considère comme de vulgaires déchets ? Ça n'a aucun sens.

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Isa,

Par pure grâce, je suis au clair sur ma liberté en Christ.

Par contre, les Galates étaient inclinés à revenir au moins partiellement au légalisme, ce qui signifiait pour eux "être déchus de la grâce". L'épître aux Galates développe en détails ces notions.

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Zacharie a écrit:

Monique a écrit:

Aime Giresse a écrit:Bonjour à tous,

Point essentiel

le chrétien qui a le soucis de mettre en pratique les commandements de Dieu tout en croyant au pardon de ses pêchés antérieur et de ses chutes dans la courses vers le royaume des cieux au nom de Jésus-Christ n’a pas le droit d’être traité de légaliste.

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Profession de foi du forum

8. Nous croyons que l'homme est sauvé par la foi en l'œuvre suffisante du Christ à la croix. Cette foi s’accompagne toujours d’une véritable repentance. La justification provient de la grâce seule.

Monique

Bonjour Monique,

"Cette foi s'accompagne toujours d'une véritable repentance.".

Bonjour Zacharie

Ce que je voulais évoquer c'est la justification par la grâce seule, et pas de la justification qui proviendrait de la pratique des commandements de la loi.

Mais puisque vous évoquez la repentance, selon vous de quelle manière vient-elle dans le coeur de l'homme ?

Oui puisque Jésus a aussi demandé d'aller la prêcher. Il est donc à supposer que vous connaissez le sujet.

Pouvez-vous développer ce que vous entendez par "la foi s'accompagne toujours d'une véritable repentance.

Je dis ça car ici dans ce point 8 de la profession de foi du forum, je lis qu'il est parlé d'une personne qui vient à Christ parce qu'il a été attiré par Lui, et pas d'une personne qui serait déjà entré dans la vie chrétienne.

Donc ma question est: De quelle repentance est-il question ici ?

Merci d'avance pour la réponse.

Monique

gerardh a écrit:Bonjour,

Le légalisme

Si les paroles de Jésus étaient le plus souvent marquées par la grâce, nous l’entendons pourtant s’exprimer avec la plus grande sévérité lorsqu’il s’adresse aux chefs religieux des Juifs qui utilisaient leur prétendue observation de la loi pour nourrir leur orgueil. En observant scrupuleusement certains commandements, et en négligeant les autres, on peut se donner l’illusion d’être juste, et tenter de la donner à ceux qui nous entourent. C’est l’état que le Seigneur dénonce avec véhémence dans le réquisitoire impressionnant de Matthieu 23. «Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! » Cet état d’esprit — qu’on appelle le légalisme — conduit à ajouter des commandements humains, ou même issus de la Loi de Moïse, à la Parole de Dieu sur la grâce, et ainsi à la déformer et à l’annuler. Le livre des Actes et les épîtres placent devant nous une autre forme de légalisme, celle qu’a fait naître le passage progressif de la dispensation de la loi à celle de la grâce. Il est compréhensible que les Juifs, attachés depuis leur enfance à leur loi, à leurs ordonnances, à leurs privilèges, aient eu de la peine à abandonner le système judaïque. L’épître aux Hébreux a eu pour but de mettre fin à cette situation intermédiaire.  Soyons nous-mêmes gardés de nous placer, d’une manière ou d’une autre, sous le joug de la loi, et d’être ainsi privés de notre liberté en Christ.

En rapport avec le salut, le légalisme substitue les œuvres de l’homme au don de la grâce et de la foi, seul moyen de salut que Dieu donne (Gal. 2:16 ; Éph. 2:8,9). C’est en fait la religion de Caïn. Dans la vie chrétienne, le légalisme remplace la piété et la communion avec Christ par des règles destinées à tranquilliser la conscience. La vraie liberté chrétienne est perdue. C’est cet aspect qui nous intéresse particulièrement. Dès le début, ces règles sont en effet personnifiées dans les actes de deux hommes, Caïn et Abel.

Qu’a fait l’homme sous la loi ? Après avoir enfreint la loi, il a rejeté Christ seul moyen de salut. La loi était parfaite, sainte, bonne, divine dans sa nature, juste dans toutes ses exigences ; mais la chair en l’homme, à qui elle était donnée comme une mise à l’épreuve, la rendait parfaitement inutile comme moyen de venir à Dieu et d’acquérir une justice devant Lui. Elle était « faible par la chair » (Rom. 8:3). La loi est donc donnée, non comme règle à la chair, mais pour lui fermer la bouche, pour que tout le monde soit « coupable devant Dieu », pour apporter à l’homme la connaissance du péché et le rendre conscient qu’il est infiniment pécheur, pour produire la colère, pour faire mourir ; en un mot pour tuer la vie de l’homme et non pour le sauver. Le Seigneur illustre le changement apporté par sa venue dans deux paraboles : celle du vieil et du nouvel habit et celle du vin et des outres.

Il s’agissait de prouver, et cela ne pouvait l’être par aucun autre moyen, que l’homme dans la chair ne peut pas s’approcher de Dieu. La loi ne suppose pas a priori ni l’homme perdu : elle va le prouver, — ni l’homme incapable d’une justice : elle lui donne le moyen de montrer cette capacité, s’il la possède, en lui disant : « Fais cela et tu vivras ». Voilà aussi pourquoi elle ne dévoile pas d’emblée l’état du monde. Cet état ne peut être manifesté que par la longue histoire d’un peuple placé sous la loi, en présence de tous les appels de Dieu et finalement en présence d’un Sauveur. Les docteurs attachés au judaïsme ne contestaient pas la grâce, mais parlaient de perfectionner le chrétien par la loi. C’était en même temps un moyen de rester attachés au passé, de ne pas rompre avec la chair, de retenir à tort la loi comme règle de vie et de ne pas tourner le dos au monde. La loi, donnée de Dieu, devenait l’instrument de Satan pour détourner le chrétien de Dieu et de Christ.

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Merci Gérard.

Monique

Monique a écrit:Je dis ça car ici dans ce point 8 de la profession de foi du forum, je lis qu'il est parlé d'une personne qui vient à Christ parce qu'il a été attiré par Lui, et pas d'une personne qui serait déjà entré dans la vie chrétienne.

Donc ma question est: De quelle repentance est-il question ici ?

La question est effectivement pertinente, merci de l'avoir posée, en espérant que Zacharie daigne y répondre.

De mon point de vue, l'affirmation de Zacharie selon laquelle "la foi s'accompagne toujours d'une véritable repentance" est tout à fait exacte, sauf que désormais le terme "repentance" n'a plus du tout pour moi le même sens que durant mes décennies de christianisme mondain.

Isa a écrit:

Monique a écrit:Je dis ça car ici dans ce point 8 de la profession de foi du forum, je lis qu'il est parlé d'une personne qui vient à Christ parce qu'il a été attiré par Lui, et pas d'une personne qui serait déjà entré dans la vie chrétienne.

Donc ma question est: De quelle repentance est-il question ici ?

La question est effectivement pertinente, merci de l'avoir posée, en espérant que Zacharie daigne y répondre.

De mon point de vue, l'affirmation de Zacharie selon laquelle "la foi s'accompagne toujours d'une véritable repentance" est tout à fait exacte, sauf que désormais le terme "repentance" n'a plus du tout pour moi le même sens que durant mes décennies de christianisme mondain.

Quelle était pour toi la signification du terme "repentance" ?

La même que la tienne, globalement, c'est à dire reconnaître et regretter ses fautes, et être fermement résolu à adopter une conduite qui honore le Seigneur.

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Bonjour,

La repentance précède la foi.

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Monique a écrit:

Aime Giresse a écrit:Bonjour à tous,

Point essentiel

le chrétien qui a le soucis de mettre en pratique les commandements de Dieu tout en croyant au pardon de ses pêchés antérieur et de ses chutes dans la courses vers le royaume des cieux au nom de Jésus-Christ n’a pas le droit d’être traité de légaliste.

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Profession de foi du forum

8. Nous croyons que l'homme est sauvé par la foi en l'œuvre suffisante du Christ à la croix. Cette foi s’accompagne toujours d’une véritable repentance. La justification provient de la grâce seule.

Monique

Je maintient ce que j’a dis. J’espère vraiment que vous comprenez la charte que vous brandissez là. Il y a deux niveaux dans le salut (initial et final) .

gerardh a écrit:__

Bonjour,

La repentance précède la foi.

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De très peu alors.

Zacharie a écrit:

Isa a écrit:

Monique a écrit:Je dis ça car ici dans ce point 8 de la profession de foi du forum, je lis qu'il est parlé d'une personne qui vient à Christ parce qu'il a été attiré par Lui, et pas d'une personne qui serait déjà entré dans la vie chrétienne.

Donc ma question est: De quelle repentance est-il question ici ?

La question est effectivement pertinente, merci de l'avoir posée, en espérant que Zacharie daigne y répondre.

De mon point de vue, l'affirmation de Zacharie selon laquelle "la foi s'accompagne toujours d'une véritable repentance" est tout à fait exacte, sauf que désormais le terme "repentance" n'a plus du tout pour moi le même sens que durant mes décennies de christianisme mondain.

Quelle était pour toi la signification du terme "repentance" ?

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Bonsoir Zacharie

A qui posez-vous cette question ? Quelle était pour toi la signification du terme "repentance" ? A Vigilant ou à moi ?

Je dis ça parce que c'était moi qui vous avez posé à vous Zacharie, la question de savoir si vous pouviez expliquer ce qu'est la repentance selon vous, et ceci d'autant plus que Jésus a demandé d'aller la prêcher. Or là je vois que "vous" nous renvoyez la question.

Si je vous avais posé cette question, c'est parce que vous avez dit que la foi s'accompagne toujours d'une véritable repentance.

Si vous parlez ainsi c'est certainement parce que vous connaissez le sujet de la repentance. Alors si vous pouviez partager ce que vous savez d'elle, ce serait bien et ainsi voir si nous marchons du même pas, et peut être partager ensemble ensuite.

Que pensez-vous de cette proposition re-nouvelée ?

Monique

Isa a écrit:La même que la tienne, globalement, c'est à dire reconnaître et regretter ses fautes, et être fermement résolu à adopter une conduite qui honore le Seigneur.

OUI, et c'est le travail de toute notre vie, ici sur terre !

Zacharie a écrit:

Isa a écrit:La même que la tienne, globalement, c'est à dire reconnaître et regretter ses fautes, et être fermement résolu à adopter une conduite qui honore le Seigneur.

OUI, et c'est le travail de toute notre vie, ici sur terre !

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Bonjour Zacharie

Donc pour vous, la repentance c'est ça, elle se limite à ça ? Etre emmené à être fermement résolu à adopter une conduite qui honore le Seigneur.

Eh bien moi aussi dans ce cas, à maintes reprises j'ai été fermement résolue à adopter cette même attitude et ça n'a jamais tenu plus d'un jour ou deux.

Mais Zacharie, si on veut aller plus loin dans le sujet, qui est Celui qui nous emmène à regretter nos fautes, et sur quelle base le fait-il ?

Et pour les nouveaux venus au Seigneur, sur quelle base la repentance vient-elle en eux et par rapport à quoi, puisque selon Dieu ils ne savent pas ce qui est péché et ce qui ne l'est pas.

Je parle ici du péché selon le point de vue de Dieu, et pas du notre.

Pouvez-vous développer ?

Merci d'avance et surtout ne voyez pas cet échange comme une agression, mais plutôt un désir de partager avec vous la façon dont j'ai moi même compris comment la repentance est appelée à être prêchée aux hommes: Chose que je n'avais pas, pendant le temps que j'ai passé au sein d'une religion.

Pour moi à cette époque la repentance équivalait à une recherche constante du péché en moi, pour ne plus le pratiquer, mais le problème c'était que cette recherche venait uniquement de moi.

Voilà! Si ça peut vous aider à mieux me faire comprendre, alors c'est bien. Pour comprendre ce qu'est la véritable repentance selon Dieu, la meilleure façon pour la comprendre, c'est de se mettre de son coté à Lui. Comment Lui désire-t-il nous la faire parvenir.

Ici tout est déjà pratiquement dit.

Je vous laisse la parole et peut être aussi voir d'ouvrir un nouveau sujet sur ce thème de la repentance...mais je pense qu'il peut être réglé de façon très courte, en quelques posts seulement.

Bien à vous.
Monique

Pour ce qui est dire qu'un homme est légaliste, et qui a été précédemment évoqué, cela veut tout simplement dire que cet homme marche et pratique selon un respect absolu de la loi de Moïse. Il marche selon des lois et dans la loi, il n'y a pas d'amour, que des ordres.

Il est celui qu'on appelle un "rigoriste". Il est un partisan d'une politique de rigueur, d'austérité.

Celui qui se sait aimé de Dieu, ne le verra jamais comme étant Celui qui donne des ordres.

Un père digne de ce nom, n'agira jamais de cette manière, mais il se fera connaitre à son enfant par sa façon de vivre.

Monique

Un père, un véritable n'acceptera jamais que son fils marche dans la crainte par rapport à lui, et l'enfant qui marche par crainte de son père, montre par là qu'il ne l'a pas véritablement connu.

Ce sont des principes basiques du monde, après chacun fait ce qu'il en veut par rapport à Dieu dont il sait pourtant que son Père Créateur c'est Lui, alors que son père dans la chair est uniquement son géniteur.

Monique

Zacharie a écrit:

Isa a écrit:La même que la tienne, globalement, c'est à dire reconnaître et regretter ses fautes, et être fermement résolu à adopter une conduite qui honore le Seigneur.

OUI, et c'est le travail de toute notre vie, ici sur terre !

C'est aussi ce que j'ai cru durant quasiment toute ma vie, jusqu'à ce qu'enfin je sache ce qu'est la véritable repentance.

Isa a écrit:

Zacharie a écrit:

Isa a écrit:La même que la tienne, globalement, c'est à dire reconnaître et regretter ses fautes, et être fermement résolu à adopter une conduite qui honore le Seigneur.

OUI, et c'est le travail de toute notre vie, ici sur terre !

C'est aussi ce que j'ai cru durant quasiment toute ma vie, jusqu'à ce qu'enfin je sache ce qu'est la véritable repentance.

Qu'est-ce que la véritable repentance pour toi ?

Monique a écrit:

Zacharie a écrit:

Isa a écrit:La même que la tienne, globalement, c'est à dire reconnaître et regretter ses fautes, et être fermement résolu à adopter une conduite qui honore le Seigneur.

OUI, et c'est le travail de toute notre vie, ici sur terre !

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Bonjour Zacharie

Donc pour vous, la repentance c'est ça, elle se limite à ça ? Etre emmené à être fermement résolu à adopter une conduite qui honore le Seigneur.

Eh bien moi aussi dans ce cas, à maintes reprises j'ai été fermement résolue à adopter cette même attitude et ça n'a jamais tenu plus d'un jour ou deux.
Monique

Pourquoi ?

Zacharie a écrit:

Monique a écrit:

Zacharie a écrit:

OUI, et c'est le travail de toute notre vie, ici sur terre !

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Bonjour Zacharie

Donc pour vous, la repentance c'est ça, elle se limite à ça ? Etre emmené à être fermement résolu à adopter une conduite qui honore le Seigneur.

Eh bien moi aussi dans ce cas, à maintes reprises j'ai été fermement résolue à adopter cette même attitude et ça n'a jamais tenu plus d'un jour ou deux.
Monique

Pourquoi ?

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Zacharie

Vous avez le chic pour détourner les questions qui vous sont adressées et faire en sorte de les diriger sur les autres pour que vous n'ayez pas à y répondre vous même. Ou de ne pas y répondre du tout, en espérant peut être que les questions posées seraient oubliées.

Ce n'est pas la première fois que vous agissez de cette manière, du moins avec moi car je l'avais déjà remarqué.

Mais bon, je ne vous en veut pas, c'était juste une remarque pour que vous sachiez que je m'étais déjà aperçue de la chose.

En fait Zacharie, si vous ne savez pas ou si vous ne voulez pas dire en quoi concerne la véritable repentance selon Dieu, alors dites-le franchement.

Il n'y aura pas mort d'homme dans ce cas.

Monique