Ayons une relation avec Dieu.

Paroles de Vérité a écrit:"Goutez et voyez que l'Eternel est bon! Bienheureux l'homme qui se confie en lui!" (Psaume 34:8 ).

Si nous sommes nés de nouveau en Christ, nous devons régulièrement ressentir la présence de Dieu, voir Sa gloire se manifester à travers nos vies, entendre le Seigneur nous parler, nous guider et exaucer nos prières. Si nous nous confions en l'Eternel alors nous gouterons et nous verrons les bénédictions de Dieu se déverser dans nos vies. Si ce n'est jamais le cas alors c'est qu'il y a un problème et le problème ne vient pas de Dieu! Nous confions-nous véritablement en Dieu plus qu'aux hommes? Faisons-nous de Lui notre priorité absolue?

"Examinez-vous vous mêmes, pour savoir si vous êtes dans la foi; éprouvez-vous vous-mêmes. Ne reconnaissez-vous pas que Jésus-Christ est en vous? à moins peut-être que vous ne soyez réprouvés." (2 Corinthiens 13:5).

Si nous donnons véritablement nos vies à Dieu, que nous plaçons notre confiance en Lui, alors nous verrons nos prières être exaucées et nous aurons une relation avec Dieu et non une religion.

"Recommande ton sort à l'Eternel, Mets en lui ta confiance, et il agira." (Psaume 37:5).

Merci pour ton excellent commentaire.

Permets-moi de citer également le verset 6:

Psaumes 37.5 Recommande ton sort à l'Eternel, Mets en lui ta confiance, et il agira. 6 Il fera paraître ta justice comme la lumière, Et ton droit comme le soleil à son midi.

Placer entièrement notre confiance en l'Eternel, c'est donc aussi être juste en agissant selon Ses normes de justice, ce que confirment les versets suivants:

Psaumes 18.23 Toutes ses ordonnances ont été devant moi, Et je ne me suis point écarté de ses lois. 24 J'ai été sans reproche envers lui, Et je me suis tenu en garde contre mon iniquité. 25 Aussi l'Eternel m'a rendu selon ma droiture, Selon la pureté de mes mains devant ses yeux.

Marc 11 :

22 Jésus prit la parole, et leur dit: Ayez foi en Dieu.

23 Je vous le dis en vérité, si quelqu'un dit à cette montagne: Ote-toi de là et jette-toi dans la mer, et s'il ne doute point en son coeur, mais croit que ce qu'il dit arrive, il le verra s'accomplir.

24 C'est pourquoi je vous dis: Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l'avez reçu, et vous le verrez s'accomplir.

25 Et, lorsque vous êtes debout faisant votre prière, si vous avez quelque chose contre quelqu'un, pardonnez, afin que votre Père qui est dans les cieux vous pardonne aussi vos offenses.

Zacharie a écrit:

Paroles de Vérité a écrit:"Goutez et voyez que l'Eternel est bon! Bienheureux l'homme qui se confie en lui!" (Psaume 34:8 ).

Si nous sommes nés de nouveau en Christ, nous devons régulièrement ressentir la présence de Dieu, voir Sa gloire se manifester à travers nos vies, entendre le Seigneur nous parler, nous guider et exaucer nos prières. Si nous nous confions en l'Eternel alors nous gouterons et nous verrons les bénédictions de Dieu se déverser dans nos vies. Si ce n'est jamais le cas alors c'est qu'il y a un problème et le problème ne vient pas de Dieu! Nous confions-nous véritablement en Dieu plus qu'aux hommes? Faisons-nous de Lui notre priorité absolue?

"Examinez-vous vous mêmes, pour savoir si vous êtes dans la foi; éprouvez-vous vous-mêmes. Ne reconnaissez-vous pas que Jésus-Christ est en vous? à moins peut-être que vous ne soyez réprouvés." (2 Corinthiens 13:5).

Si nous donnons véritablement nos vies à Dieu, que nous plaçons notre confiance en Lui, alors nous verrons nos prières être exaucées et nous aurons une relation avec Dieu et non une religion.

"Recommande ton sort à l'Eternel, Mets en lui ta confiance, et il agira." (Psaume 37:5).

Merci pour ton excellent commentaire.

Permets-moi de citer également le verset 6:

Psaumes 37.5 Recommande ton sort à l'Eternel, Mets en lui ta confiance, et il agira. 6 Il fera paraître ta justice comme la lumière, Et ton droit comme le soleil à son midi.

Placer entièrement notre confiance en l'Eternel, c'est donc aussi être juste en agissant selon Ses normes de justice, ce que confirment les versets suivants:

Psaumes 18.23 Toutes ses ordonnances ont été devant moi, Et je ne me suis point écarté de ses lois. 24 J'ai été sans reproche envers lui, Et je me suis tenu en garde contre mon iniquité. 25 Aussi l'Eternel m'a rendu selon ma droiture, Selon la pureté de mes mains devant ses yeux.

Tu as raison j'aurai pu prolonger en citant le verset 6 du Psaume 37 afin de donner un peu plus d'épaisseur à mon propos. 

Paroles de Vérité a écrit:
"Examinez-vous vous mêmes, pour savoir si vous êtes dans la foi; éprouvez-vous vous-mêmes. Ne reconnaissez-vous pas que Jésus-Christ est en vous? à moins peut-être que vous ne soyez réprouvés." (2 Corinthiens 13:5).

Si nous donnons véritablement nos vies à Dieu, que nous plaçons notre confiance en Lui, alors nous verrons nos prières être exaucées et nous aurons une relation avec Dieu et non une religion.

Paul nous invite à prendre conscience de là où nous sommes vraiment et situe la finalité de cette investigation dans la reconnaissance que Jésus est en nous.

Habituellement une relation implique deux personnes qui ont besoin d'être en contact physiquement pour que cette relation soit vraiment complète. Et pourtant ces deux personnes demeurent toujours extérieur l'une à l'autre même en pouvant être très proches et fusionnelles psychologiquement.

Affirmer que nous devons approcher Jésus comme un ami invisible est déjà un progrès par rapport à ce qui peut exister en matière de religion mais est-ce vraiment de ça qu'il s'agit ? Peut on également être aussi familier que ça avec ce qui devient un Dieu hippie et cool, avec le risque de manquer la dimension spirituelle de cette invitation ?

Il semble qu'en même temps il n'en va pas tout à fait ainsi de la nature de la communion avec Dieu.  L'esprit ouvre à une dimension qui transcende notre rapport au monde et aux personnes terrestres tout en la transformant.

Derrière la prétention de la religion il y'a celle d'aller au ciel et de voir des prières exaucées, de former une communauté de croyants, de célébrer des cultes, de faire le bien en évitant le péché, ce qui revient souvent à ne pas suivre ses propres désirs, et donc à un sacrifice. Ces choses là sont toujours présentes dans le discours qui propose une relation plutôt qu'une religion. C'est donc quelquepart de la religion qui ne dit pas son nom.

Dans ce qu'on exprime il y'a donc généralement de la religion là où Dieu est absent, là où tout n'est pas accompli et il y'a de la relation là où on est dans la présence de Dieu mais tout cela conserve une durée avec des hauts et des bas. On peut néanmoins trouver cela dans les écritures.

Mais on trouve aussi autrechose : être dans la foi et Jésus en nous ne demande rien d'autre que d'être et le connaître indépendamment de toute activité, spontanément et parfois même sans le rechercher ni exercer une vigilance particulière. Un peu comme on sait que l'on respire et que l'on existe sans avoir à y penser. Jésus devient Celui qui vit comme en arrière plan de nous même et de nos identités, de nos désirs humains, de nos projets, réussites et attentes, mais aussi de nos souffrances, échecs, peurs...etc. Et il est donc question de s'établir, de demeurer, s'immerger, d'entrer dans cette nouvelle réalité qui est cependant celle qui a toujours été depuis le commencement. Nous découvrons à ce moment que nous marchions sur la tête et que nous avons façonné une existence et des repères erronées ou tellement passagers qu'ils semblent superflus.

Se remettre à lui, lui donner sa vie, ce n'est pas devenir ermite, pasteur, missionnaire, chrétien engagé dans le service ou un ministère. Ce n'est d'abord possible qu'en cessant d'alimenter notre petite histoire, notre petite personne, de mettre le projecteur sur nous même et notre propre regard. C'est un saut vers l'inconnu, un changement de perspective et un abandon que l'apôtre n'hésite pas à qualifier de mort sur la croix avec Christ, de crucifixion de la chair. Jean-Baptiste le plus grand de tous les prophètes nés de la femme, est décapité. Symboliquement, la repentance à laquelle il appelle mène donc à une décapitation de cette humanité qui nait et de construit inévitablement depuis la chair, le péché.

Jésus n'est pas une religion ou une relation, il est le visage, l'incarnation de la nature même de la réalité, de ce qui est vraiment et qui donne consistance à tout ce qui est, le fondement de l'être sur lequel tout a été créé. Cet être est d'abord esprit, souffle de vie, avant d'être créé corporel et psycho-emotionnel. Et nous vivons le plus souvent dans l'irréalité à cause du péché. L'invitation est celle de mourrir à qui nous pensions être et au monde que nous avions fait notre.