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contes philosophiques chretiens

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Clara
Ombre450
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contes philosophiques chretiens - Page 3 Empty Re: contes philosophiques chretiens

Message  Ombre450 Mar 15 Mar 2016 - 20:57

http://imagelien.com/histoire-lecture-26/

Je revenais à la maison, ma femme servait le souper. Je lui ai pris la main et lui ai dit : j’ai quelque chose à t’annoncer. Elle s’assis et mangea tranquillement sans dire un mot.

Encore une fois je vis la peine dans ses yeux. Soudainement je ne savais plus ouvrir la bouche. Mais je devais lui faire part de ce que je pensais. Je veux divorcer. J’ai soulevé le sujet calmement. Elle n’a pas semblé contrarié par mes paroles, elle m’a simplement demandé.. Pourquoi?

J’ai fui sa question. Elle s’est alors fâchée. Elle lança les baguettes et cria vers moi, t’es pas un homme!

Ce soir-là nous ne nous sommes pas adressé la parole. Elle pleurait. Je savais qu’elle voulait savoir ce qui était advenu de notre mariage. Mais je ne pouvais lui donner une explication satisfaisante, elle avait perdu mon coeur pour Marie-Ève. Je ne l’aimais plus. J’avais seulement de la pitié pour elle.

Avec une énorme culpabilité, je lui fis part de mes arrangements pour le divorce, que je lui léguais la maison, l’auto et je mettais en jeu 30% de mon entreprise. Elle y jeta un coup d’oeil et le détruisit en morceaux.

Cette femme qui avait passé 10 ans de sa vie avec moi, était devenue une étrangère. J’étais désolé pour elle de ce temps gaspillé, de ressource et d’énergie, mais je ne pouvais reprendre ce que je venais de lui dire, car j’aimais beaucoup Marie-Ève.

Soudainement elle s’est mise à pleurer très fort devant moi, ce à quoi je m’attendais. Dans le fond, ses pleurs étaient pour moi une délivrance.

Cette idée de divorce qui m’obsédait depuis plusieurs semaines, me semblait maintenant plus ferme et claire.

Le jour suivant, je suis revenu à la maison très tard, et l’ai trouvée assise à la table en train d’écrire. Je n’ai pas soupé et je suis directement allé me coucher et m’endormir aussitôt car j’étais fatigué de ma journée mouvementée avec Marie-Ève.
Lorsque je me suis réveillé, elle était toujours assise à la table à écrire. Je ne m’en suis pas occupé, je me suis retourné de côté et rendormi à nouveau.

Au matin elle me présenta ses conditions de divorce : elle ne voulait rien de moi, mais avait besoin d’un mois d’avis avant le divorce.

Sa requête était que, durant ce mois, nous devions tous deux se battre pour vivre une vie aussi normale que possible. Sa raison était simple : notre fils devait passer un examen à la fin de ce mois-là et ne voulait en aucun cas, le déranger avec un mariage brisé.

C’était parfait pour moi. Mais elle ajoutait autre chose, elle me demanda de lui rappeler comment je l’avais transportée dans notre chambre nuptiale le jour de notre mariage.

Sa deuxième requête était que durant ce mois, je devais la transporter de notre chambre au seuil de la porte tous les matins. Je croyais qu’elle devenait folle. Pour faire de ses derniers jours supportables, j’acceptais son étrange requête.

J’avisais Marie-Ève des étranges conditions de divorce. Elle s’est mise à rire et croyait elle aussi, que c’était absurde.

Marie-Ève me dit avec mépris, que peu importe les ruses qu’elle prendrait, elle devait faire face au divorce.

Ma femme et moi n’avions plus aucun contact physique depuis que j’avais pris la décision de divorcer.

Alors quand j’ai dû la sortir de la chambre le premier jour, nous étions tous les deux maladroits. Notre fils applaudissait derrière nous, papa porte maman dans ses bras. Ces mots m’apportaient de la peine. De la chambre au salon, ensuite à la porte, j’ai marché environ 10 mètres avec elle dans mes bras.

Elle ferma les yeux et me demanda doucement de ne pas parler du divorce à notre fils. J’ai fait oui de la tête, j’ai ressenti un étrange sentiment plutôt bouleversant. Je l’ai déposée par terre à l’extérieur de la porte. Elle est partie attendre l’autobus pour le travail. J’ai conduit seul jusqu’au bureau.

Le deuxième jour, tous les deux agissions plus facilement. Elle s’appuya sur mon estomac. Je pouvais sentir la fragrance de sa chemise. Je réalisais que je n’avais pas regardé cette femme attentivement depuis un bon bout de temps. Je réalisais qu’elle n’était plus jeune.

Il y avait des rides sur son visage, ses cheveux grisonnaient ! Notre mariage avait fait des ravages sur elle. Pour une minute je me suis demandé ce que je lui avais fait.

Le quatrième jour, j’ai ressenti un retour d’intimité. C’est cette femme qui m’avait donné 10 ans de sa vie.

Le cinquième et sixième jours, je réalisais que l’intimité ressentie grandissait à nouveau. Je n’ai pas parlé de ceci à Marie-Ève. Il était plus facile de la transporter au fur et à mesure que le mois avançait.

Peut-être que ce travail chaque jour me rendait plus fort.

Un matin qu’elle tentait de choisir quoi porter, elle essaya quelques robes mais ne parvenait pas à trouver la convenable. Elle murmura que toutes ses robes étaient devenues trop grandes.

Soudainement je prenais conscience qu’elle avait maigri, et c’est la raison pour laquelle je pouvais la transporter plus facilement.

Ça me frappa… elle avait enterré tant de peine et d’amertume dans son coeur. Inconsciemment j’ai atteint et touché sa tête.

Notre fils est arrivé à ce moment et a dit : « papa il est temps de porter maman dehors ». Pour lui, voir son père transporter sa mère dehors était devenu une partie essentielle à sa vie. Ma femme fit un geste à notre fils de venir plus près et le serra très fort.

J’ai tourné la tête parce que j’avais peur en cette minute de changer d’idée. Je l’ai ensuite prise dans mes bras, marchant de la chambre au salon et dans l’entrée. Elle mit ses bras autour de mon cou tout doucement et naturellement. J’ai tenu son corps serré, c’était comme le jour de notre mariage. Mais sa maigreur me rendait triste.

Le dernier jour, lorsque je l’ai prise dans mes bras, je pouvais à peine bouger d’un pas. Notre fils était parti pour l’école.

Je la tenais fermement et lui dit: « je n’avais pas remarqué que notre vie avait manqué d’intimité ».

Je conduisis jusqu’au bureau… Rapidement je sautai hors du véhicule, sans barrer les portes. J’avais peur qu’un seul délai puisse me faire changer d’idée… Je montais les marches. Marie-Ève ouvrit la porte et je lui dis : « désolé Marie-Ève, je ne souhaite plus divorcer maintenant ».

Elle me regarda sidérée et me toucha le front. Fais-tu de la fièvre? Je retirai sa main de mon front. Désolé Marie-Ève, mais je ne divorce pas. Ma vie de mariage était probablement devenue ennuyeuse parce que, ni elle ni moi n’avions évalué les détails de nos vies, mais non parce que notre amour était mort. Maintenant je réalise que depuis le jour ou je l’ai transportée dans notre demeure le jour de notre mariage, c’est mon devoir de la soutenir jusqu’à ce que la mort nous sépare.
Marie-Ève semblait soudainement comprendre. Elle me gifla violemment et claqua la porte puis éclata en sanglots. Je redescendis l’escalier et je suis parti.

En route, j’arrêtai chez un fleuriste, j’ai commandé un bouquet de fleurs pour mon épouse. La vendeuse me demandait ce qu’elle devait écrire sur la carte. Je souris et écrivis « je te porterai dehors tous les matins jusqu’à ce que la mort nous sépare ».
Cet après-midi-là j’arrivais à la maison, fleurs à la main, sourire aux lèvres, je montais les marches à la course, pour retrouver ma femme seule dans son lit – morte.

Ma femme se battait contre un cancer depuis des mois, mais j’étais tellement préoccupé avec Marie-Ève que je ne m’en suis jamais aperçu.

Elle savait qu’elle allait mourir sou peu et elle voulait me préserver, peu importent les réactions négatives de notre fils, au cas où nous aurions divorcé. – Au moins, aux yeux de mon fils – je suis un mari aimant…
Les plus petits détails de votre vie sont ce qui compte vraiment dans une relation; ce n’est pas la maison, l’auto, la propriété, l’argent en banque. Ceci crée un environnement favorable pour la joie mais ne peut donner la joie à soi-même.

Alors trouvez du temps pour être l’ami de votre époux ou épouse et faites ces petites choses l’un pour l’autre qui créent l’intimité. Réglez vos problèmes, communiquez, et soyez heureux.
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Message  Clara Mar 15 Mar 2016 - 22:22

Merci beaucoup, Ombre! Hug

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Message  Ombre450 Mar 15 Mar 2016 - 22:25

Clara a écrit:Merci beaucoup, Ombre! Hug

c'est volontiers

ça a été mon métier
ça reste ma passion
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Message  Ombre450 Ven 18 Mar 2016 - 4:28

Histoire de Noël - La poupée

http://www.tresorsonore.com/fiche-8727.html

Dans un magasin je me suis retrouvée dans l'allée des jouets.
Du coin de l'oeil, j'ai remarqué un petit bonhomme d'environ 5 ans,
qui tenait une jolie petite poupée contre lui...


Il n'arrêtait pas de lui caresser les cheveux et de la serrer doucement contre lui.
Je me demandais à qui était destinée la poupée. Puis, le petit garçon se retourna
vers la dame près de lui: " Ma tante, es-tu certaine que je n'ai pas assez de sous?"
La dame lui répondit avec un peu d'impatience:
"tu sais que tu n'as pas assez de sous pour l'acheter " .


Puis sa tante lui demanda de rester là, et de l'attendre quelques minutes.
Puis elle partit rapidement.


Le petit garçon tenait toujours la poupée
dans ses mains. Finalement, je me suis dirigée vers lui, et lui ai demandé
à qui il voulait donner la poupée.
" C'est la poupée que ma petite soeur désirait plus que tout pour Noël
Elle était sûre que le Père Noël la lui apporterait
"Je lui dis alors qu'il allait peut-être lui apporter."
Il me répondit tristement: " Non, le Père Noël ne peut pas aller là où ma petite soeur se trouve
maintenant... "


"Il faut que je donne la poupée à ma maman pour qu'elle la lui apporte"
Il avait les yeux tellement tristes en disant cela.
"Elle est partie rejoindre Jésus. Papa dit que maman va aller retrouver Jésus bientôt elle aussi,
alors j'ai pensé qu'elle pourrait prendre la poupée avec elle et la donner à ma petite soeur "
Mon coeur s'est presque arrêté de battre.


Le petit garçon a levé les yeux vers moi et m'a dit:
" J'ai dit à papa de dire à maman de ne pas partir tout de suite.
Je lui ai demandé d'attendre que je revienne du magasin "
Puis il m'a montré une photo de lui prise dans le magasin, sur laquelle il tenait
la poupée en me disant: "Je veux que maman apporte aussi cette photo avec elle, comme ça,
elle ne m'oubliera pas. J'aime ma maman et j'aimerai qu'elle ne me quitte pas,
mais papa dit qu'il faut qu'elle aille avec ma petite soeur"
Puis il baissa la tête et resta silencieux. Je fouillais dans mon sac à mains,
et j'en sorti une liasse de billets et je demandais au petit garçon:
"Et si on recomptait tes sous une dernière fois pour être sûrs? "
"OK", dit-il, "Il faut que j'en ai assez" .


Je glissai mon argent avec le sien et nous avons commencé à compter.
Il y en avait amplement pour la poupée et même plus. Doucement, le petit garçon murmura:
"Merci Jésus pour m'avoir donné assez de sous".
Puis il me regarda et dit: "J'avais demandé à Jésus de
s'arranger pour que j'ai assez de sous pour acheter cette poupée afin que ma maman puisse
l'apporter à ma soeur. Il a entendu ma prière. Je voulais aussi avoir assez de sous pour acheter
une rose blanche à ma maman, mais je n'osais pas lui demander. Mais il m'a donné assez de sous
pour acheter la poupée et la rose blanche. Vous savez, ma maman aime tellement les roses blanches..."


Quelques minutes plus tard, sa tante revint, et je m'éloignai en poussant mon panier.
Je terminai mon magasinage dans un état d'esprit complètement différent de celui dans lequel
je l'avais commencé.


Je n'arrivais pas à oublier le petit garçon. Puis, je me suis rappelée un article paru
dans le journal quelques jours auparavant, qui parlait d'un conducteur en état d' ivresse
qui avait frappé une voiture dans laquelle se trouvait une jeune femme et sa fille.
La petite fille était morte sur le coup et la mère gravement blessée.
La famille devait décider s'ils allaient la faire débrancher du respirateur.
Est-ce que c'était la famille de ce petit garçon? Deux jours plus tard, je lus dans le journal
que la jeune femme était morte. Je ne pus m'empêcher d'aller acheter un bouquet de roses blanches
et me rendre au salon mortuaire où était exposée la jeune dame.


Elle était là,
tenant une jolie rose blanche dans sa main,
avec la poupée et la photo du petit garçon dans le magasin.
J'ai quitté le salon en pleurant sentant que ma vie changerait pour toujours.
L'amour que ce petit garçon éprouvait pour sa maman et sa soeur était tellement grand,
tellement incroyable. Et en une fraction de seconde, un conducteur ivre lui a tout enlevé...
Ombre450
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Message  Invité Dim 29 Avr 2018 - 13:28

Pas vraiment de message philosophique (ou biblique) mais c'est néanmoins un conte Chrétien Razz   :

Il était une fois la naissance de Jésus, dans un étable près de Bethléem. Une étoile scintilla très fort dans le ciel. Trois rois se mirent en route, guidés par l’astre pour apporter les cadeaux les plus précieux à l’Enfant Jésus.

En Amérique centrale, un roi vit lui aussi briller l’étoile du Berger. A la vue de ce signal, le roi décida de se mettre en route en emportant avec lui ses plus beaux trésors qu’il souhaitait offrir au Roi des rois. Un bouquet de plumes de toutes les couleurs, deux émeraudes, un collier en pointes de flèches et une pépite d’or. Suivant l’inspiration du moment, il ajouta aussi une pomme de pin.

Mais la route jusqu’à la Judée était très longue et difficile. Le roi se retrouva coincé dans la forêt vierge. A ce moment là, un perroquet blanc passa par là. En échange du bouquet de plumes de toutes les couleurs, il lui proposa de le porter pour traverser la forêt.

Le roi put reprendre sa marche. Mais il fut rapidement bloqué par des montagnes impossibles à gravir. C’est à ce moment qu’un puma surgit. « Monte sur mon dos », proposa le félin. « Je vais t ’emmener de l’autre côté. En échange, tu n’as qu’à me donner ces deux émeraudes : je les mettrais à la place de mes yeux et comme ça, je pourrais voir même lorsqu’il fait nuit. »

Une fois les montagnes passées, le roi reprit sa route. Rapidement freiné dans son élan par un fleuve tourbillonnant. C’est un crocodile qui lui proposa son aide en échange du collier en pointe de flèches. « Grâce à elles, je m’en ferai des dents pointues ».

Enfin face à l’océan, le roi acheta une barque à un pêcheur grâce à la pépite d’or.

Après une très longue traversée, il arriva enfin dans l’étable près de Bethléem. Les trois autres rois mages étaient arrivé et reparti depuis des décennies et, en guise d'enfant Jésus, il se trouva face à un homme adulte.

De tous les trésors qu’il avait emporté, il ne restait plus rien au roi. En fouillant dans sa tunique, il retrouva la pomme de pin, que le temps et les rigueurs du voyage avait abîmé. Un cadeau simple qui le rendis confus.

Mais Jésus remercia le roi, accepta la pomme de pin toute sèche, lui insuffla une vie nouvelle en la transformant en épi de mais et le lui offrit en souriant.

Tout heureux, le roi Indien retourna chez lui avec son épi de maïs qu'il replanta et c'est ainsi que le maïs fut introduit en Amérique et nourri les populations.

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Message  Clara Lun 30 Avr 2018 - 22:33

Merci beaucoup à vous pour ces jolies histoires!!Very Happy

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