L'opposition croyant/incroyant est elle réaliste ?
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L'opposition croyant/incroyant est elle réaliste ?
En ayant écouté à plusieurs reprises de fervent défenseurs de l'irreligiosité avant de ne pouvoir glisser que 10 mots en retour, j'en suis parfois arrivé à cette question.
Qu'il y'a t'il de commun entre le croyant qui est clairement dans une démarche religieuse basé sur le mode de la réponse et de l'immobilisme. Et celui qui est dans une démarche spirituelle en évolution dans sa relation avec Dieu ?
Au fur et à mesure qu'on prend conscience que Dieu est en même temps une inconnue infini pour notre entendement, une question plus qu'une réponse, est on encore croyant ? Si oui, pourquoi entretenir cette confusion avec un même mot pour deux démarches opposés ?
L'incroyant n'est il pas avant tout quelqu'un d'indifférent à des questionnements de fond sur Dieu ?
Qu'il y'a t'il de commun entre le croyant qui est clairement dans une démarche religieuse basé sur le mode de la réponse et de l'immobilisme. Et celui qui est dans une démarche spirituelle en évolution dans sa relation avec Dieu ?
Au fur et à mesure qu'on prend conscience que Dieu est en même temps une inconnue infini pour notre entendement, une question plus qu'une réponse, est on encore croyant ? Si oui, pourquoi entretenir cette confusion avec un même mot pour deux démarches opposés ?
L'incroyant n'est il pas avant tout quelqu'un d'indifférent à des questionnements de fond sur Dieu ?
Jyncen- Messages : 1186
Date d'inscription : 09/08/2012
Age : 36
Re: L'opposition croyant/incroyant est elle réaliste ?
Mon copain est incroyant par définition vu qu'il n'est pas chrétien. Pourtant, il ne rejette pas le fait qu'un Dieu puisse exister, que quelqu'un ait pu créer l'univers. Par contre, il me dit toujours qu'il ne se pose pas de question là dessus, qu'il n'en ressent pas le besoin (mais que ça pourrait arriver un jour) et parce qu'il trouve qu'on fait beaucoup d'interprétations sur ces choses sans que personne ne puisse détenir la vérité, pour lui c'est comme brasser du vent.
Après pour beaucoup, être non chrétien c'est comme être incroyant, mais ta question reste intéressante.
Après pour beaucoup, être non chrétien c'est comme être incroyant, mais ta question reste intéressante.
QuarkStar- Messages : 300
Date d'inscription : 23/10/2014
Age : 34
Localisation : Moselle
Re: L'opposition croyant/incroyant est elle réaliste ?
J'explicite un peu plus maintenant que j'ai accès à un ordinateur.
D'un point de vu biblique, le croyant est le "fidèle" (pistos) à Dieu en opposition au "non-fidèle" (apistos). Nous citerons facilement les écritures en abordant des personnes au sujet de la foi. Seulement, comment cela est compris ?
Quand les écritures pointent qu'il faut croire que Dieu existe et qu'il est le rémunérateur de ceux qui le cherche (He 11:6), cela se traduit concrètement au premier niveau, par exemple par faire confiance en une personne invisible qui a tant aimé le monde qu'elle a donné son Fils, que rien n'est impossible à Dieu, que Jésus-Christ est le même hier, aujourd'hui, éternellement. C'est la foi du charbonnier qui remplis toutes les conditions bibliques.
Le problème c'est qu'aujourd'hui le constat qui s'impose avec l'expression populaire "aussi bien ceux qui croient au Ciel que ceux qui n'y croient pas" c'est que la foi est du domaine des opinions et ne change rien. Selon cette vision des choses, tout le monde tente de réagir et de traiter à sa manière les questions et problèmes qui se posent mais tout le monde en est au même point. Et si on aime pas la religion, il y'a peu de chance que ça change. A ce niveau rien n'empêche que le croyant et l'incroyant soient tous les deux infidèles.
Si nous sommes souvent rapides pour affirmer que "Jésus n'est pas une religion", nous sommes moins affirmatif sur "croire en Jésus n'est pas le croire de la religion". Pourtant nous ne pouvons pas nous étendre bien longtemps dans des discussions si déjà la notion de "croire" n'est pas la bonne.
De là ma question : cette opposition dans le domaine populaire entre croyant/incroyant a t-elle quelque chose à voir avec la foi évangélique ?
Les écritures enseignent selon les traductions que Jésus est l'auteur, le chef, le principe même, de la foi, celui qui ouvre le chemin de la foi (Hebreux 12:2) et en même temps, la finalité de cette foi, le consommateur. Dans la réponse que donne Jésus en Jean 6:29 "que devons nous faire ?", l'œuvre de Dieu c'est que le Père suscite en nous la foi en Jésus par laquelle nous sommes sauvés.
C'est très différent que d'y adhérer par soi-même en ne faisant qu'accepter des réponses qui nous plaisent, nous paraissent justes, nous arrangent. La foi vient de la parole qu'on entend (Romains 10:17), elle ne vient pas par des arguments métaphysiques qui nous éloignent des questions de fond : "Et toi où en es-tu ? Es-tu en mesure de croire là maintenant d'une manière qui ne t'appartient pas ? Et avant de se positionner par rapport à Dieu, qui es-tu vis à vis de toi-même ? Avant de venir à Jésus, d'où viens-tu à toi-même ?"
La religion produit des réponses qu'il faut faire sienne. On lui reproche de fermer toute possibilité de cheminement et d'évolution. Le fondamentalisme religieux, d'arrêter de penser, de s'opposer au progrès, de se fermer au monde, d'imposer des choses avec violence. L'évidence qui s'impose au point de vu populaire est que l'incroyance est préférable à cette attitude. Dans l'histoire de France, les protestants n'ont pas toujours su où se mettre dans la lutte qui faisait rage entre l'église romaine et l'état laïque.
Ni croyant, ni incroyant mais quelque chose d'autre ! Voilà le genre de posture qui me reste à tenter d'exprimer en langage populaire sur les 10 mots qu'on m'accorde pour désamorcer le "vous êtes chrétiens, comment faites vous, c'est impensable aujourd'hui !". Je pense qu'on ne peut pas simplement tenir tête face à un tel malentendu, il est aussi de notre responsabilité de témoins quand on communique sur notre foi que cela corresponde à la réalité et non à une vaine redite d'un discours qui ne nous correspond pas.
Le schémas croyant/incroyant est-il donc à perpétuer en même temps que nous prenons des distances avec la religiosité ? Quel schémas peut aider à clarifier notre positionnement ? croyance religieuse/incroyance/fidélité à une expérience spirituelle ? réponse/indifférence/questionnement ? religiosité/abstention/spiritualité ? certitude/scepticisme/confiance ... ?
D'un point de vu biblique, le croyant est le "fidèle" (pistos) à Dieu en opposition au "non-fidèle" (apistos). Nous citerons facilement les écritures en abordant des personnes au sujet de la foi. Seulement, comment cela est compris ?
Quand les écritures pointent qu'il faut croire que Dieu existe et qu'il est le rémunérateur de ceux qui le cherche (He 11:6), cela se traduit concrètement au premier niveau, par exemple par faire confiance en une personne invisible qui a tant aimé le monde qu'elle a donné son Fils, que rien n'est impossible à Dieu, que Jésus-Christ est le même hier, aujourd'hui, éternellement. C'est la foi du charbonnier qui remplis toutes les conditions bibliques.
Le problème c'est qu'aujourd'hui le constat qui s'impose avec l'expression populaire "aussi bien ceux qui croient au Ciel que ceux qui n'y croient pas" c'est que la foi est du domaine des opinions et ne change rien. Selon cette vision des choses, tout le monde tente de réagir et de traiter à sa manière les questions et problèmes qui se posent mais tout le monde en est au même point. Et si on aime pas la religion, il y'a peu de chance que ça change. A ce niveau rien n'empêche que le croyant et l'incroyant soient tous les deux infidèles.
Si nous sommes souvent rapides pour affirmer que "Jésus n'est pas une religion", nous sommes moins affirmatif sur "croire en Jésus n'est pas le croire de la religion". Pourtant nous ne pouvons pas nous étendre bien longtemps dans des discussions si déjà la notion de "croire" n'est pas la bonne.
De là ma question : cette opposition dans le domaine populaire entre croyant/incroyant a t-elle quelque chose à voir avec la foi évangélique ?
Les écritures enseignent selon les traductions que Jésus est l'auteur, le chef, le principe même, de la foi, celui qui ouvre le chemin de la foi (Hebreux 12:2) et en même temps, la finalité de cette foi, le consommateur. Dans la réponse que donne Jésus en Jean 6:29 "que devons nous faire ?", l'œuvre de Dieu c'est que le Père suscite en nous la foi en Jésus par laquelle nous sommes sauvés.
C'est très différent que d'y adhérer par soi-même en ne faisant qu'accepter des réponses qui nous plaisent, nous paraissent justes, nous arrangent. La foi vient de la parole qu'on entend (Romains 10:17), elle ne vient pas par des arguments métaphysiques qui nous éloignent des questions de fond : "Et toi où en es-tu ? Es-tu en mesure de croire là maintenant d'une manière qui ne t'appartient pas ? Et avant de se positionner par rapport à Dieu, qui es-tu vis à vis de toi-même ? Avant de venir à Jésus, d'où viens-tu à toi-même ?"
La religion produit des réponses qu'il faut faire sienne. On lui reproche de fermer toute possibilité de cheminement et d'évolution. Le fondamentalisme religieux, d'arrêter de penser, de s'opposer au progrès, de se fermer au monde, d'imposer des choses avec violence. L'évidence qui s'impose au point de vu populaire est que l'incroyance est préférable à cette attitude. Dans l'histoire de France, les protestants n'ont pas toujours su où se mettre dans la lutte qui faisait rage entre l'église romaine et l'état laïque.
Ni croyant, ni incroyant mais quelque chose d'autre ! Voilà le genre de posture qui me reste à tenter d'exprimer en langage populaire sur les 10 mots qu'on m'accorde pour désamorcer le "vous êtes chrétiens, comment faites vous, c'est impensable aujourd'hui !". Je pense qu'on ne peut pas simplement tenir tête face à un tel malentendu, il est aussi de notre responsabilité de témoins quand on communique sur notre foi que cela corresponde à la réalité et non à une vaine redite d'un discours qui ne nous correspond pas.
Le schémas croyant/incroyant est-il donc à perpétuer en même temps que nous prenons des distances avec la religiosité ? Quel schémas peut aider à clarifier notre positionnement ? croyance religieuse/incroyance/fidélité à une expérience spirituelle ? réponse/indifférence/questionnement ? religiosité/abstention/spiritualité ? certitude/scepticisme/confiance ... ?
Dernière édition par Jyncen le Ven 28 Aoû 2015 - 9:52, édité 1 fois
Jyncen- Messages : 1186
Date d'inscription : 09/08/2012
Age : 36
Re: L'opposition croyant/incroyant est elle réaliste ?
___________
Bonjour,
La Parole nous indique ni p)lus ni moins que c'est l'opposition entre la lumière et les ténèbres, entre les enfants de Dieu et les enfants du diable.
__________
Bonjour,
La Parole nous indique ni p)lus ni moins que c'est l'opposition entre la lumière et les ténèbres, entre les enfants de Dieu et les enfants du diable.
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gerardh- Messages : 5916
Date d'inscription : 30/06/2012
Re: L'opposition croyant/incroyant est elle réaliste ?
Je ne sais pas, j'ai une religion, je comprends pas trop justement toujours ce clivage entre une religion qui serait ritualisée et le vrai croyant qui n'aurait pas de religion. En definitive tous ont une religion, du pentecotiste au réformé en passant par tous les évangéliques charismatiques, même ceux qui s'en défendent le plus...
_________________
"L'épreuve n'enlève pas la foi elle n'enlève que la mauvaise foi..."
Que Dieu vous bénisse
jpeg- Messages : 6212
Date d'inscription : 01/07/2012
Age : 47
Re: L'opposition croyant/incroyant est elle réaliste ?
Est-ce que ce que nous appelons croyants sont vraiment des fidèles ayant foi (le mot grec à le double sens)?
Re: L'opposition croyant/incroyant est elle réaliste ?
jpeg a écrit:Je ne sais pas, j'ai une religion, je comprends pas trop justement toujours ce clivage entre une religion qui serait ritualisée et le vrai croyant qui n'aurait pas de religion. En definitive tous ont une religion, du pentecotiste au réformé en passant par tous les évangéliques charismatiques, même ceux qui s'en défendent le plus...
Oui il y'a toujours des codes quoi qu'on y fasse. Pourtant on peut distinguer deux démarches bien différente voir opposé derrière la notion de religion ou de croyant. Je pense que c'est ce que veut souligner ce clivage.
La religion des réponses ira vers les idées toutes faites, et l'expérience personnelle dépendra beaucoup d'une expérience collective dans une démarche d'acceptation d'une tradition où le sens critique ne sert qu'à faire de l'apologétique.
La religion des questions cherchera à stimuler une expérience personnelle dans une quête sprituelle qui trouve des réponses dans le questionnement et l'exercice du sens critique jusqu'à entendre une parole qui ne vient pas de l'homme.
La première ne necessite pas obligatoirement d'un éveil ou d'un réveil à l'esprit, et quand c'est le cas cela est associé à des rites et à des conceptions qui sont mises en avant. La seconde necessite cette naissance spirituelle et celle ci devra être préservé des éléments extérieurs qu'on pourrait lui associer, le but est d'en tirer parti et de l'actualiser.
Jyncen- Messages : 1186
Date d'inscription : 09/08/2012
Age : 36
Re: L'opposition croyant/incroyant est elle réaliste ?
Je pense que parmi tous les chrétiens il y en a beaucoup qui veulent avoir la foi, mais ne l'ont pas pour autant. Je me met dans cette catégorie, je crois en un Dieu, je crois en Jésus, mais je sais qu'il manque un truc, ma vie ne reflète pas assez celle d'un chrétien engagé. Mais en même temps, je ne peux pas faire l'hypocrite, si la Foi est un don de Dieu, il est possible que je ne l'ai pas (encore) reçu, mais ça ne m'empêche pas d'y croire avec mes moyens et ma logique humaine, sauf que ça ne portera évidemment pas les mêmes fruits (je suis incapable de témoigner, j'ai encore de nombreux doutes etc).
Je pense que beaucoup de chrétiens ont ce genre de foi "pas complète" et ceux là ressemblent aux incroyants dans un sens car quand on a pas la "vraie Foi" on est obligé de se rassurer, de trouver des prétextes pour soutenir ses idées alors qu'un chrétien totalement converti devrait avoir l'assurance et la sérénité à ce niveau là puisqu'il est en relation avec Dieu.
Je pense que beaucoup de chrétiens ont ce genre de foi "pas complète" et ceux là ressemblent aux incroyants dans un sens car quand on a pas la "vraie Foi" on est obligé de se rassurer, de trouver des prétextes pour soutenir ses idées alors qu'un chrétien totalement converti devrait avoir l'assurance et la sérénité à ce niveau là puisqu'il est en relation avec Dieu.
QuarkStar- Messages : 300
Date d'inscription : 23/10/2014
Age : 34
Localisation : Moselle
Re: L'opposition croyant/incroyant est elle réaliste ?
Pour le coup tu es en train de projeter sur toi ce que ton père te reproche
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jpeg- Messages : 6212
Date d'inscription : 01/07/2012
Age : 47
Re: L'opposition croyant/incroyant est elle réaliste ?
C'est un peu ça oui, mais c'est la meilleure explication que j'ai trouvée pour expliquer comment entre deux chrétiens, il peut y avoir des divergences d'opinions jusqu'à des fondamentaux bibliques.
QuarkStar- Messages : 300
Date d'inscription : 23/10/2014
Age : 34
Localisation : Moselle
Re: L'opposition croyant/incroyant est elle réaliste ?
QuarkStar a écrit:C'est un peu ça oui, mais c'est la meilleure explication que j'ai trouvée pour expliquer comment entre deux chrétiens, il peut y avoir des divergences d'opinions jusqu'à des fondamentaux bibliques.
C'est une explication rassurante, celui qui ne pense pas comme moi n'est pas chrétien.
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jpeg- Messages : 6212
Date d'inscription : 01/07/2012
Age : 47
Re: L'opposition croyant/incroyant est elle réaliste ?
QuarkStar a écrit:Je pense que parmi tous les chrétiens il y en a beaucoup qui veulent avoir la foi, mais ne l'ont pas pour autant. Je me met dans cette catégorie, je crois en un Dieu, je crois en Jésus, mais je sais qu'il manque un truc, ma vie ne reflète pas assez celle d'un chrétien engagé. Mais en même temps, je ne peux pas faire l'hypocrite, si la Foi est un don de Dieu, il est possible que je ne l'ai pas (encore) reçu, mais ça ne m'empêche pas d'y croire avec mes moyens et ma logique humaine, sauf que ça ne portera évidemment pas les mêmes fruits (je suis incapable de témoigner, j'ai encore de nombreux doutes etc).
Cela dépend aussi quelle foi tu t'attends recevoir et quelle foi on aimerait avoir dans la situation que tu décris.
Je pense que la logique humaine n'a pas à se soucier des doutes qu'elle émet, c'est humain. Je considère que l'athéisme peut relèver d'une certaine maturité par rapport à des réponses toutes faites et quand il s'agit d'assumer les choses avec héroïsme. Quand cela est absent chez les croyants, le naturel revient au galop. Par contre l'homme peut aussi s'enorgueillir en s'attribuant la capacité de croire qui est donné et cela peut déboucher sur une vision faussé de la foi. Sous le coup de l'émotion religieuse ou d'une excitation artificielle ou d'une jubilation de l'orgueil, il est facile de faire cette confusion, tout le monde ne s'intéresse pas à "qu'est ce qui fait que je suis aussi sûr de ce que j'affirme ?".
Jyncen- Messages : 1186
Date d'inscription : 09/08/2012
Age : 36
Re: L'opposition croyant/incroyant est elle réaliste ?
jpeg a écrit:
C'est une explication rassurante, celui qui ne pense pas comme moi n'est pas chrétien.
C'est pas ce que je pense du tout, en fait avec mes propres doutes sur ma Foi ça m'a permis d'être plus ouverte envers les autres (les athées, les gens d'une autre croyance etc...) car certaines de ces personnes ont plus de Foi que les chrétiens et peuvent être plus proches d'en devenir que d'autres qui se sentent "proche de Dieu".
Évidemment, on m'a toujours dit qu'être tolérant c'était une séduction de satan pour "accepter l'inacceptable" (càd admettre qu'on peut ne pas croire en Dieu). Mais plus ça va plus je me dis que ce n'est pas comme ça qu'il faut penser (c'est avec ce genre de pensées qu'on créer des guerres), sans aller jusqu'à dire qu'ils ont raison de ne pas croire/croire en d'autres dieux, il faut essayer de comprendre pourquoi ces gens pensent comme ça (contexte familial, passé, pays d'origine) et surtout ne pas leur faire pression pour espérer qu'ils se convertissent (on peut leur parler de notre Foi, mais toujours dans le respect de l'autre).
Sinon je suis complètement d'accord avec ce que dis Jyncen et ça me conforte dans le choix de ne pas rejeter d'office ceux qui ne sont pas chrétiens.
QuarkStar- Messages : 300
Date d'inscription : 23/10/2014
Age : 34
Localisation : Moselle
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