Psaume 41
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Psaume 41
Heureux celui qui s'intéresse au pauvre ! Au jour du malheur l'Éternel le délivre;
Le verbe hébreu original traduit par "prendre soin" est "sakal שָׂכַל", qui signifie à l'origine agir avec sagesse. Comme le montre le Livre de Jérémie, agir avec sagesse consiste à aligner notre vie sur la nature divine de Dieu. Prendre soin de ceux qui sont dans le besoin est une caractéristique de la nature divine. Tant ceux qui reçoivent des soins que ceux qui donnent sont amenés à méditer profondément sur Dieu, la source de la grâce, et ainsi à connaître Dieu et à expérimenter la bénédiction de le rencontrer.
Heureuse la personne qui confesse que l'attention portée aux pauvres ne vient pas de notre propre bonté, mais de la miséricorde de Dieu qui nous donne la capacité de nous occuper d'eux.
Le même Dieu qui a fait jaillir l'eau du rocher pour étancher la soif du désert lorsque Moïse l'a frappé, a imputé tous nos péchés à Jésus et, en frappant le corps de Jésus, a fait jaillir l'eau de la vie pour ranimer nos corps mourants. L'eau que Moïse a fait jaillir était une eau naturelle qui aidait à maintenir la vie pendant un certain temps, mais l'eau que Dieu a fait jaillir par l'intermédiaire de Jésus est une eau surnaturelle qui mène à la vie éternelle.
L'Ancien Testament de la Bible souligne à maintes reprises que personne n'a la capacité de suivre parfaitement les lois de Dieu. Il répète à plusieurs reprises que nous n'avons pas en nous-mêmes la capacité d'aligner notre vie sur la nature divine de Dieu. Notre capacité à suivre la sagesse de Dieu vient non pas de notre propre volonté ou puissance, mais du fait que nous avons bu de l'eau de vie donnée par Jésus. Cette eau nous unit à Dieu, et elle est symbolique du Saint-Esprit qui jaillit éternellement en nous.
Seuls ceux qui bénéficient de la grâce de Jésus et de l'onction du Saint-Esprit seront reconnus comme les bien-aimés de Dieu au jour du jugement final.
Le verbe hébreu original traduit par "prendre soin" est "sakal שָׂכַל", qui signifie à l'origine agir avec sagesse. Comme le montre le Livre de Jérémie, agir avec sagesse consiste à aligner notre vie sur la nature divine de Dieu. Prendre soin de ceux qui sont dans le besoin est une caractéristique de la nature divine. Tant ceux qui reçoivent des soins que ceux qui donnent sont amenés à méditer profondément sur Dieu, la source de la grâce, et ainsi à connaître Dieu et à expérimenter la bénédiction de le rencontrer.
Heureuse la personne qui confesse que l'attention portée aux pauvres ne vient pas de notre propre bonté, mais de la miséricorde de Dieu qui nous donne la capacité de nous occuper d'eux.
Le même Dieu qui a fait jaillir l'eau du rocher pour étancher la soif du désert lorsque Moïse l'a frappé, a imputé tous nos péchés à Jésus et, en frappant le corps de Jésus, a fait jaillir l'eau de la vie pour ranimer nos corps mourants. L'eau que Moïse a fait jaillir était une eau naturelle qui aidait à maintenir la vie pendant un certain temps, mais l'eau que Dieu a fait jaillir par l'intermédiaire de Jésus est une eau surnaturelle qui mène à la vie éternelle.
L'Ancien Testament de la Bible souligne à maintes reprises que personne n'a la capacité de suivre parfaitement les lois de Dieu. Il répète à plusieurs reprises que nous n'avons pas en nous-mêmes la capacité d'aligner notre vie sur la nature divine de Dieu. Notre capacité à suivre la sagesse de Dieu vient non pas de notre propre volonté ou puissance, mais du fait que nous avons bu de l'eau de vie donnée par Jésus. Cette eau nous unit à Dieu, et elle est symbolique du Saint-Esprit qui jaillit éternellement en nous.
Seuls ceux qui bénéficient de la grâce de Jésus et de l'onction du Saint-Esprit seront reconnus comme les bien-aimés de Dieu au jour du jugement final.
Jean- Messages : 898
Date d'inscription : 06/01/2017
Localisation : Séoul
Re: Psaume 41
Jean a écrit:Heureux celui qui s'intéresse au pauvre ! Au jour du malheur l'Éternel le délivre;
Le verbe hébreu original traduit par "prendre soin" est "sakal שָׂכַל", qui signifie à l'origine agir avec sagesse. Comme le montre le Livre de Jérémie, agir avec sagesse consiste à aligner notre vie sur la nature divine de Dieu. Prendre soin de ceux qui sont dans le besoin est une caractéristique de la nature divine. Tant ceux qui reçoivent des soins que ceux qui donnent sont amenés à méditer profondément sur Dieu, la source de la grâce, et ainsi à connaître Dieu et à expérimenter la bénédiction de le rencontrer.
Heureuse la personne qui confesse que l'attention portée aux pauvres ne vient pas de notre propre bonté, mais de la miséricorde de Dieu qui nous donne la capacité de nous occuper d'eux.
Le même Dieu qui a fait jaillir l'eau du rocher pour étancher la soif du désert lorsque Moïse l'a frappé, a imputé tous nos péchés à Jésus et, en frappant le corps de Jésus, a fait jaillir l'eau de la vie pour ranimer nos corps mourants. L'eau que Moïse a fait jaillir était une eau naturelle qui aidait à maintenir la vie pendant un certain temps, mais l'eau que Dieu a fait jaillir par l'intermédiaire de Jésus est une eau surnaturelle qui mène à la vie éternelle.
L'Ancien Testament de la Bible souligne à maintes reprises que personne n'a la capacité de suivre parfaitement les lois de Dieu. Il répète à plusieurs reprises que nous n'avons pas en nous-mêmes la capacité d'aligner notre vie sur la nature divine de Dieu. Notre capacité à suivre la sagesse de Dieu vient non pas de notre propre volonté ou puissance, mais du fait que nous avons bu de l'eau de vie donnée par Jésus. Cette eau nous unit à Dieu, et elle est symbolique du Saint-Esprit qui jaillit éternellement en nous.
Seuls ceux qui bénéficient de la grâce de Jésus et de l'onction du Saint-Esprit seront reconnus comme les bien-aimés de Dieu au jour du jugement final.
Amen !
J'ai relu ce Psaume 41: il y est fait mention au verset 13 du prix de notre intégrité quant à notre amour pour notre prochain : la vie éternelle.
Tout est grâce, mais la grâce est-elle à sens unique ? Efforçons-nous de Lui plaire.
Zacharie- Messages : 3773
Date d'inscription : 07/07/2012
Re: Psaume 41
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Zacharie,
La grâce de Dieu est inconditionnelle.
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Zacharie,
La grâce de Dieu est inconditionnelle.
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gerardh- Messages : 5916
Date d'inscription : 30/06/2012
Re: Psaume 41
gerardh a écrit:__
Zacharie,
La grâce de Dieu est inconditionnelle.
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Bonjour Gérard,
Voici ce qu'enseigne la Bible:
Matthieu 16.24 Alors Jésus dit à ses disciples : Si quelqu'un veut venir après moi, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge de sa croix, et qu'il me suive. 25 Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de moi la trouvera.
La Nouvelle Alliance est conditionnelle.
Zacharie- Messages : 3773
Date d'inscription : 07/07/2012
Re: Psaume 41
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Zacharie,
Toujours aussi légaliste, préférant la Loi à la grâce !
«Et qu’il prenne sa croix». C’est la conséquence du renoncement de soi-même. Celui qui se serait complètement renoncé, ne trouverait aucune attraction dans ce que le monde lui offre, mais uniquement un sujet de douleurs. Christ a répondu aux tentations, non par l’indifférence, mais par la souffrance : «Il a souffert étant tenté». Des milliers de chrétiens croient prendre leur croix, quand ils sont éprouvés, ou que la main de Dieu s’appesantit sur eux en discipline. Il n’y a rien de la croix dans cela. Remarquez le mot : «Prendre sa croix». Ce n’est pas recevoir des afflictions de la main de Dieu, mais prendre volontairement, je dirais «volontiers», le fardeau des souffrances que le monde nous présente. Ce fardeau est d’autant plus réel et d’autant plus lourd que, pour suivre Christ, nous marchons davantage dans la puissance du nouvel homme qui, n’ayant aucune attache ici-bas, ne trouve dans le monde que l’inimitié contre son Sauveur et contre ce qui est né de lui.
«Et me suive». Le suivre est la conséquence des deux conditions précédentes. Le suivre, c’est l’imiter ; l’imiter, c’est former sur lui ses actes et ses pensées.
Il faut ces trois choses pour venir après lui. Où est la puissance pour les réaliser ? Pierre, au chap. 22 de Luc, v. 33, se faisait illusion à cet égard. Il pensait que cette puissance était dans ses bonnes intentions, dans ses décisions, dans son amour pour le Sauveur. Combien de chrétiens pensent de même ! Ils diraient volontiers : «Je te suivrai en prison et jusque dans la mort». Mais cette puissance n’est pas de l’homme (nous reviendrons plus tard sur ce sujet), elle est essentiellement liée à deux choses : au don du Saint Esprit, puissance d’en haut pour notre marche, à la perte de toute confiance en la chair. Cette défiance de lui-même, Simon Pierre l’acquit avec Satan, par une chute ; Paul avec Dieu, par la connaissance d’un Christ glorieux. Lorsque Pierre est entièrement brisé, le Seigneur lui dit définitivement : «Suis-moi» (Jean 21:19). Et le disciple, à la suite de Jésus, se met en marche à travers la mort jusqu’à ce qu’il atteigne Christ dans la gloire. Frères, suivons-le jusqu’au bout ! Comme nous allons le voir au chap. 17 de notre évangile, nous en aurons maintenant la récompense bénie, nous apprendrons, dès ici-bas, à le connaître dans la gloire.
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Zacharie,
Toujours aussi légaliste, préférant la Loi à la grâce !
«Et qu’il prenne sa croix». C’est la conséquence du renoncement de soi-même. Celui qui se serait complètement renoncé, ne trouverait aucune attraction dans ce que le monde lui offre, mais uniquement un sujet de douleurs. Christ a répondu aux tentations, non par l’indifférence, mais par la souffrance : «Il a souffert étant tenté». Des milliers de chrétiens croient prendre leur croix, quand ils sont éprouvés, ou que la main de Dieu s’appesantit sur eux en discipline. Il n’y a rien de la croix dans cela. Remarquez le mot : «Prendre sa croix». Ce n’est pas recevoir des afflictions de la main de Dieu, mais prendre volontairement, je dirais «volontiers», le fardeau des souffrances que le monde nous présente. Ce fardeau est d’autant plus réel et d’autant plus lourd que, pour suivre Christ, nous marchons davantage dans la puissance du nouvel homme qui, n’ayant aucune attache ici-bas, ne trouve dans le monde que l’inimitié contre son Sauveur et contre ce qui est né de lui.
«Et me suive». Le suivre est la conséquence des deux conditions précédentes. Le suivre, c’est l’imiter ; l’imiter, c’est former sur lui ses actes et ses pensées.
Il faut ces trois choses pour venir après lui. Où est la puissance pour les réaliser ? Pierre, au chap. 22 de Luc, v. 33, se faisait illusion à cet égard. Il pensait que cette puissance était dans ses bonnes intentions, dans ses décisions, dans son amour pour le Sauveur. Combien de chrétiens pensent de même ! Ils diraient volontiers : «Je te suivrai en prison et jusque dans la mort». Mais cette puissance n’est pas de l’homme (nous reviendrons plus tard sur ce sujet), elle est essentiellement liée à deux choses : au don du Saint Esprit, puissance d’en haut pour notre marche, à la perte de toute confiance en la chair. Cette défiance de lui-même, Simon Pierre l’acquit avec Satan, par une chute ; Paul avec Dieu, par la connaissance d’un Christ glorieux. Lorsque Pierre est entièrement brisé, le Seigneur lui dit définitivement : «Suis-moi» (Jean 21:19). Et le disciple, à la suite de Jésus, se met en marche à travers la mort jusqu’à ce qu’il atteigne Christ dans la gloire. Frères, suivons-le jusqu’au bout ! Comme nous allons le voir au chap. 17 de notre évangile, nous en aurons maintenant la récompense bénie, nous apprendrons, dès ici-bas, à le connaître dans la gloire.
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gerardh- Messages : 5916
Date d'inscription : 30/06/2012
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