sept Je suis de Jésus

Jean Ven 5 Juil 2024 - 17:43

Jean 15:5 Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire.

1) Les sept "Je suis" de Jésus !

Dans l'Évangile de Jean, il y a sept proclamations "Je suis" (en grec: ego eimi ; en hébreu: ehyeh) qui représentent le nom sacré de Dieu donné à Moïse. L'Éternel Dieu se présente à Moïse en disant "Je suis ~" sans révéler pleinement Son identité. Même dans la phrase plus longue "Je suis celui qui suis", Dieu exprime son auto-suffisance, ne se réduisant à aucune autre chose que nous connaissons.

L'expression "Je suis ~" comme une introduction de soi-même est, en réalité, une métaphore au sens large. La métaphore est le principe sous-jacent de toutes les expressions selon lesquelles A=B. Dieu se révèle à Moïse comme A=A. Nous comprenons A par déduction à partir de B, et Dieu ne nous donne aucun indice.

Dans l'Évangile de Jean, cependant, Jésus se révèle comme A=7B à travers sept déclarations "Je suis", où les B sont tous des images métaphoriques, ce qui signifie que l'identité de Jésus est encore enveloppée de mystère, dans le sens où nous devons tâtonner pour trouver la vraie identité. Bien sûr, si nous interprétons ces métaphores correctement, comme Jésus l'a voulu, il est bien plus révélateur que le Dieu de l'Ancien Testament.

Je suis la vigne.
ἐγώ εἰμι ἡ ἄμπελος (ego eimi hē ampelos)

Jean 15:1 "Je suis la vraie vigne, et mon Père est le vigneron."

Dans Jean 15, Jésus fait cette proclamation "Je suis la vigne" une fois au verset 1 et une autre fois au verset 5. La particularité du verset 1 est l'adjectif "vraie" qui précède "vigne". Ensuite, il compare Dieu le Père à un vigneron. Une révélation concernant Dieu le Père est donc donnée simultanément.

A (Jésus) = B (la vraie vigne) / C (Dieu le Père) = D (le vigneron)

On peut le représenter ainsi.

Nous pouvons en déduire que Jésus n'est pas réellement une vigne, mais qu'Il est comparable à un vigneron qui s'est abaissé pour venir dans le monde comme une vigne. En se distinguant des autres vignes, Il s'identifie comme la vraie vigne.

Lorsque nous nous tournons vers l'Ancien Testament pour décortiquer la métaphore de la vigne, nous constatons que la vigne y est souvent utilisée comme une métaphore d'Israël. Israël est Jacob, choisi par Dieu pour remplacer Adam, qui a échoué, et, en tant que descendants de Jacob, ils sont le peuple élu de Dieu. Cependant, l'Ancien Testament nous montre qu'Israël a également échoué comme Adam. Maintenant, pour remplacer l'Adam défaillant et Israël, Jésus, Dieu lui-même, est venu en tant que la vigne, mais cette fois-ci comme la vraie vigne.

Dans son incarnation, Jésus a reçu une onction sans mesure du Saint-Esprit. Bien qu'Il soit venu en chair, Il est Dieu et ne peut échouer comme le premier Adam ou Israël.

Néanmoins, en recevant le baptême de Jean, Il s'est identifié comme un pécheur comme nous. Bien qu'Il soit sans péché, Il a pris nos péchés sur Lui. Dans les mêmes conditions que nous, avec une chair soumise au péché, Il a affronté toutes les tentations, a vécu pleinement la peur et la souffrance de la croix. Il a enduré cette douleur avec Son humanité, non Sa divinité. Sur la croix, Il a porté tous nos péchés, nous permettant de devenir la nouvelle vraie vigne. Alléluia!

Ce post est devenu un peu long, mais terminons en examinant brièvement le verset 5.

Jean 15:5 "Je suis la vigne, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire."

Dans le verset 15:5, Jésus explique le sens de sa métaphore de la vigne, non pas en relation avec Dieu le Père, mais en relation avec nous.

Si Jésus est la vigne, nous sommes les sarments. Si Dieu est le vigneron, Il souhaite que les sarments portent beaucoup de fruits. Pour que la volonté de Dieu s'accomplisse sur terre, deux conditions doivent être remplies.

Tout d'abord, Jésus doit demeurer en nous et nous devons demeurer en lui. C'est ainsi que nous portons beaucoup de fruits, ce qui reflète la volonté de Dieu pour nous.

Bien que l'humanité puisse accomplir beaucoup de choses même sans être en Jésus, lorsque Jésus dit "vous ne pouvez rien faire", cela signifie que rien ne peut être accompli selon la volonté de Dieu sans lui.

Sans la relation mutuelle d'abandon entre Jésus et nous, il est impossible de réaliser sur terre le royaume céleste où nous aimons notre prochain comme nous-même, conformément à la volonté de Dieu.

En conclusion, Jésus est le véritable Adam et le véritable Israël qui est venu à la place du premier Adam et du premier Israël. C'est pour accomplir la volonté de Dieu le Père que Jésus, le Très Saint, est devenu un être humain, et la volonté de Dieu le Père est que Jésus et nous ayons une relation réciproque, car sans Dieu, c'est-à-dire Jésus, nous ne pourrons jamais accomplir la volonté de Dieu, c'est-à-dire la volonté de Dieu de nous donner la bénédiction et la vie et, en outre, de nous donner la vie éternelle bénie.

L'Esprit Saint est le lien entre Jésus et nous. Puissions-nous toujours sentir le souffle de l'Esprit Saint dans la Parole et respirer avec lui, afin d'entrer dans l'amour du Dieu trinitaire, au nom de Jésus. Amen !

Zacharie Dim 7 Juil 2024 - 6:03

Jean a écrit:

Dans l'Évangile de Jean, cependant, Jésus se révèle comme A=7B à travers sept déclarations "Je suis", où les B sont tous des images métaphoriques, ce qui signifie que l'identité de Jésus est encore enveloppée de mystère, dans le sens où nous devons tâtonner pour trouver la vraie identité. Bien sûr, si nous interprétons ces métaphores correctement, comme Jésus l'a voulu, il est bien plus révélateur que le Dieu de l'Ancien Testament.

Cher Jean,

Où vois-tu une métaphore dans le verset suivant ?

Jean 8.24 C'est pourquoi je vous ai dit que vous mourrez dans vos péchés. En effet, si vous ne croyez pas que moi, je suis, vous mourrez dans vos péchés.».

Jésus s'identifie clairement au Yahvé de l'Ancien Testament:

Exode 3.14 Dieu dit à Moïse: «Je suis celui qui suis.» Et il ajouta: «Voici ce que tu diras aux Israélites: 'Je suis m'a envoyé vers vous.'» 15 Dieu dit encore à Moïse: «Voici ce que tu diras aux Israélites: 'L'Eternel, le Dieu de vos ancêtres, le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob, m'envoie vers vous.' Tel est mon nom pour toujours, tel est le nom sous lequel on fera appel à moi de génération en génération.

Il n’est pas obligatoire qu’une personne ait une compréhension profonde de toutes les questions concernant la Divinité pour être sauvée ; mais elle doit croire qu’il n’y a qu’un Dieu et que Jésus est Dieu.

J'ai ainsi été baptisé "au nom de Jésus-Christ", suivant d'ailleurs les exemples mentionnés dans les Actes des apôtres (voir aussi 1 Corinthiens 1.13).

Jean Dim 7 Juil 2024 - 18:08

Zacharie a écrit:
Jean a écrit:

Dans l'Évangile de Jean, cependant, Jésus se révèle comme A=7B à travers sept déclarations "Je suis", où les B sont tous des images métaphoriques, ce qui signifie que l'identité de Jésus est encore enveloppée de mystère, dans le sens où nous devons tâtonner pour trouver la vraie identité. Bien sûr, si nous interprétons ces métaphores correctement, comme Jésus l'a voulu, il est bien plus révélateur que le Dieu de l'Ancien Testament.

Cher Jean,

Où vois-tu une métaphore dans le verset suivant ?

Jean 8.24 C'est pourquoi je vous ai dit que vous mourrez dans vos péchés. En effet, si vous ne croyez pas que moi, je suis, vous mourrez dans vos péchés.».

Jésus s'identifie clairement au Yahvé de l'Ancien Testament:

Exode 3.14 Dieu dit à Moïse: «Je suis celui qui suis.» Et il ajouta: «Voici ce que tu diras aux Israélites: 'Je suis m'a envoyé vers vous.'» 15 Dieu dit encore à Moïse: «Voici ce que tu diras aux Israélites: 'L'Eternel, le Dieu de vos ancêtres, le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob, m'envoie vers vous.' Tel est mon nom pour toujours, tel est le nom sous lequel on fera appel à moi de génération en génération.

Il n’est pas obligatoire qu’une personne ait une compréhension profonde de toutes les questions concernant la Divinité pour être sauvée ; mais elle doit croire qu’il n’y a qu’un Dieu et que Jésus est Dieu.

J'ai ainsi été baptisé "au nom de Jésus-Christ", suivant d'ailleurs les exemples mentionnés dans les Actes des apôtres (voir aussi 1 Corinthiens 1.13).

Cher Zacharie,

Merci pour ta réflexion perspicace sur ce passage de l'Évangile de Jean et la correspondance avec l'Exode. En effet, lorsque Jésus dit "si vous ne croyez pas que moi, je suis, vous mourrez dans vos péchés", il fait une déclaration puissante et identifiante. Cette déclaration résonne profondément avec l'identité divine révélée dans l'Ancien Testament, notamment lorsque Dieu dit à Moïse : "Je suis celui qui suis".

Or, ce que j'ai voulu souligner dans cette méditation consiste à traiter les sept déclaration de Jésus où celui-ci se présente comme je suis+ prédicat (plusieurs images), au lieu de laisser vacant cette partie prédicative comme seul "Je suis".

Par ailleurs, selon la référence rhétorique, il est admis que toutes les formules "A = B" est un énoncé métapohorique dans son sens le plus large. En effet, A est différent de B, mais on présente A comme B, même en gommant l'adverbe "comme", comme si c'était complètement identique. C'est un procédé métaphorique par lequel on souhaite expliquer A par B, une notion déjà connue, pour expliquer A inconnu jusque là.

Ceci dit, revenon à notre sujet. Dans l'Évangile de Jean, Jésus utilise plusieurs déclarations "Je suis" (en grec, "ego eimi") qui sont des affirmations de son identité divine. Ces déclarations sont des métaphores puissantes qui pointent vers sa nature divine et son autorité souveraine. Elles nous aident à comprendre non seulement sa continuité avec Yahvé de l'Ancien Testament, mais aussi sa révélation en tant que Messie et Sauveur attendu. Jésus est Dieu, mais il est en même temps se distingue du Père et du Saint Esprit. Ils sont dans la Trinité divine.

Je suis entièrement d'accord avec toi quand tu dis que Jésus seul nous sauve, car Il est Dieu lui-même et en même temps il est le chemin unique pour atteindre le Dieu trinitaire.

Merci d'avoir partagé cette perspective enrichissante. Que notre foi en Jésus-Christ, notre unique Sauveur et Seigneur, continue à nous guider dans notre cheminement spirituel.

Bien à toi,
Jean

Zacharie Lun 8 Juil 2024 - 9:50

Jean a écrit:

Je suis entièrement d'accord avec toi quand tu dis que Jésus seul nous sauve, car Il est Dieu lui-même et en même temps il est le chemin unique pour atteindre le Dieu trinitaire.
Jean

Cher Jean,

Où Jésus a-t-Il indiqué dans Sa Parole "le chemin unique pour atteindre le Dieu trinitaire", sachant qu'Il a fait les déclarations suivantes ?

Jean 6.35 Jésus leur dit : Je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n'aura jamais faim, et celui qui croit en moi n'aura jamais soif.

Jean 7. 38 Celui qui croit en moi, des fleuves d'eau vive couleront de son sein, comme dit l'Ecriture.

Jean 11.25 Jésus lui dit : Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort;

Jean 11.26 et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ?

Jean 12. 46 Je suis venu comme une lumière dans le monde, afin que quiconque croit en moi ne demeure pas dans les ténèbres.

Ces versets ne seraient-ils pas suffisants pour être sauvé (si on exerce la foi jusqu'à la fin de notre pèlerinage sur la terre) ?

Bien cordialement, cher Jean.

Jean Lun 8 Juil 2024 - 10:57

Zacharie a écrit:
Jean a écrit:

Je suis entièrement d'accord avec toi quand tu dis que Jésus seul nous sauve, car Il est Dieu lui-même et en même temps il est le chemin unique pour atteindre le Dieu trinitaire.
Jean

Cher Jean,

Où Jésus a-t-Il indiqué dans Sa Parole "le chemin unique pour atteindre le Dieu trinitaire", sachant qu'Il a fait les déclarations suivantes ?

Jean 6.35 Jésus leur dit : Je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n'aura jamais faim, et celui qui croit en moi n'aura jamais soif.

Jean 7. 38 Celui qui croit en moi, des fleuves d'eau vive couleront de son sein, comme dit l'Ecriture.

Jean 11.25 Jésus lui dit : Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort;

Jean 11.26 et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ?

Jean 12. 46 Je suis venu comme une lumière dans le monde, afin que quiconque croit en moi ne demeure pas dans les ténèbres.

Ces versets ne seraient-ils pas suffisants pour être sauvé (si on exerce la foi jusqu'à la fin de notre pèlerinage sur la terre) ?

Bien cordialement, cher Jean.

Cher Zacharie,

Merci pour ton message et pour les versets que tu as partagés. Ils sont en effet très puissants et nous rappellent l'importance de la foi en Jésus pour notre salut.

Je suis entièrement d'accord avec toi que ces versets montrent clairement que celui qui croit en Jésus et Le suit aura la vie éternelle. Jésus se décrit comme le pain de vie, la lumière du monde, la résurrection et la vie, et quiconque croit en Lui sera sauvé. Ces affirmations soulignent que notre salut repose sur notre foi en Lui.

Cependant, quand je parle de Jésus comme "le chemin unique pour atteindre le Dieu trinitaire", je fais référence à une perspective plus large de la relation entre Jésus et le Père, ainsi que le rôle du Saint-Esprit. Jésus lui-même a dit dans Jean 14:6 : "Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi." Ce verset nous montre que Jésus est le médiateur entre Dieu et l'humanité.

De plus, dans Jean 14:16-17, Jésus parle du Saint-Esprit qu'Il enverra après son départ : "Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu'il demeure éternellement avec vous, l'Esprit de vérité." Cela montre que Jésus, en tant que Fils, nous conduit au Père et que le Saint-Esprit est envoyé pour nous guider et nous soutenir.

Ainsi, en parlant de Jésus comme le chemin unique, je voulais mettre en évidence non seulement la foi en Lui pour le salut, mais aussi comment cette foi nous conduit à une relation avec toute la Trinité : le Père, le Fils, et le Saint-Esprit.

En somme, les versets que tu as cités sont effectivement suffisants pour être sauvé par la foi en Jésus jusqu'à la fin de notre pèlerinage sur terre. Toutefois, comprendre Jésus comme le chemin nous ouvre également à la plénitude de notre relation avec le Dieu trinitaire.

Bien cordialement,

Jean

Zacharie Lun 8 Juil 2024 - 13:51

Jean a écrit:

Cependant, quand je parle de Jésus comme "le chemin unique pour atteindre le Dieu trinitaire", je fais référence à une perspective plus large de la relation entre Jésus et le Père, ainsi que le rôle du Saint-Esprit. Jésus lui-même a dit dans Jean 14:6 : "Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi." Ce verset nous montre que Jésus est le médiateur entre Dieu et l'humanité.

Cher Jean,

Tu cites Jean 14.6 où le mot "médiateur" apparaît.

Mais, 1 Timothée 2.5 précise qu'il y a "un seul médiateur entre Dieu et les hommes: un homme, Jésus-Christ.".

Jésus est venu dans la chair (1 Jean 4.2-3).

Quand nous avons reçu Christ, nous avons reçu à la fois le Père et le Fils (2 Jean 9; Jean 10.30, 14.9).

Mais, selon ces versets notre union avec le Père et le Fils n’est pas une union avec deux personnes dans la Divinité, mais simplement une union avec Dieu à travers l’homme Jésus : « Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même » (2 Corinthiens 5.19).

C'est par l'homme Jésus-Christ (et non par Dieu le Fils) que l'homme a été réconcilié avec Dieu.

Bien cordialement.

Jean Mar 9 Juil 2024 - 3:19

Zacharie a écrit:
Jean a écrit:

Cependant, quand je parle de Jésus comme "le chemin unique pour atteindre le Dieu trinitaire", je fais référence à une perspective plus large de la relation entre Jésus et le Père, ainsi que le rôle du Saint-Esprit. Jésus lui-même a dit dans Jean 14:6 : "Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi." Ce verset nous montre que Jésus est le médiateur entre Dieu et l'humanité.

Cher Jean,

Tu cites Jean 14.6 où le mot "médiateur" apparaît.

Mais, 1 Timothée 2.5 précise qu'il y a "un seul médiateur entre Dieu et les hommes: un homme, Jésus-Christ.".

Jésus est venu dans la chair (1 Jean 4.2-3).

Quand nous avons reçu Christ, nous avons reçu à la fois le Père et le Fils (2 Jean 9; Jean 10.30, 14.9).

Mais, selon ces versets notre union avec le Père et le Fils n’est pas une union avec deux personnes dans la Divinité, mais simplement une union avec Dieu à travers l’homme Jésus : « Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même » (2 Corinthiens 5.19).

C'est par l'homme Jésus-Christ (et non par Dieu le Fils) que l'homme a été réconcilié avec Dieu.

Bien cordialement.

Cher Zacharie, merci pour cette belle parole.
Je vais méditer là-dessus toute la journée.

Avec l'amour franternel en Jésus Christ, notre Seigneur

Jean.

Zacharie Mar 9 Juil 2024 - 6:21

Cher Jean,

En ce qui concerne Jean 14.16, que tu as également cité, permets-moi de citer également les 2 versets suivants (l'ensemble me paraît très important):

Jean 14. 16 Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu'il demeure éternellement avec vous, 17 l'Esprit de vérité, que le monde ne peut recevoir, parce qu'il ne le voit point et ne le connaît point; mais vous, vous le connaissez, car il demeure avec vous, et il sera en vous. 18 Je ne vous laisserai pas orphelins, je viendrai à vous.

En ce qui concerne le Saint Esprit (l'Esprit de vérité), Ephésiens 4.30 précise ce qui suit (je surligne):

N'attristez pas le Saint-Esprit de Dieu, par lequel vous avez été scellés pour le jour de la rédemption.

Bien cordialement en Christ, notre Sauveur et Seigneur.

Zacharie Mar 9 Juil 2024 - 8:12

Zacharie a écrit:Cher Jean,

En ce qui concerne Jean 14.16, que tu as également cité, permets-moi de citer également les 2 versets suivants (l'ensemble me paraît très important):

Jean 14. 16 Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu'il demeure éternellement avec vous, 17 l'Esprit de vérité, que le monde ne peut recevoir, parce qu'il ne le voit point et ne le connaît point; mais vous, vous le connaissez, car il demeure avec vous, et il sera en vous. 18 Je ne vous laisserai pas orphelins, je viendrai à vous.

En ce qui concerne le Saint Esprit (l'Esprit de vérité), Ephésiens 4.30 précise ce qui suit (je surligne):

N'attristez pas le Saint-Esprit de Dieu, par lequel vous avez été scellés pour le jour de la rédemption.

Bien cordialement en Christ, notre Sauveur et Seigneur.

P.S. Personnellement, je ne vois pas d'inconvénient à ce que l'on prie le Saint Esprit, car à de nombreuses reprises Il est personnifié. Si Jésus nous a enseigné à prier notre Père, c'est parce que en tant qu'homme Il était aussi soumis à Son Père (et à Ses parents) qu'Il priait Lui-même (beaucoup). En tant qu'homme (parfait), Il ne pouvait pas demander qu'on Le prie, mais en tant que Dieu, Il est Esprit et, bien sûr, pafaitement Saint.

J'aime prier Jésus, "mon Seigneur et mon Dieu, car c'est Lui seul qui a souffert et est mort pour nous. En outre, "(...) nous sommes transformés à son image, de gloire en gloire, par l'Esprit du Seigneur." (2 Corinthiens 3.18).

Zacharie Lun 15 Juil 2024 - 7:52

Jean a écrit:
Zacharie a écrit:
Jean a écrit:

Cependant, quand je parle de Jésus comme "le chemin unique pour atteindre le Dieu trinitaire", je fais référence à une perspective plus large de la relation entre Jésus et le Père, ainsi que le rôle du Saint-Esprit. Jésus lui-même a dit dans Jean 14:6 : "Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi." Ce verset nous montre que Jésus est le médiateur entre Dieu et l'humanité.

Cher Jean,

Tu cites Jean 14.6 où le mot "médiateur" apparaît.

Mais, 1 Timothée 2.5 précise qu'il y a "un seul médiateur entre Dieu et les hommes: un homme, Jésus-Christ.".

Jésus est venu dans la chair (1 Jean 4.2-3).

Quand nous avons reçu Christ, nous avons reçu à la fois le Père et le Fils (2 Jean 9; Jean 10.30, 14.9).

Mais, selon ces versets notre union avec le Père et le Fils n’est pas une union avec deux personnes dans la Divinité, mais simplement une union avec Dieu à travers l’homme Jésus : « Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même » (2 Corinthiens 5.19).

C'est par l'homme Jésus-Christ (et non par Dieu le Fils) que l'homme a été réconcilié avec Dieu.

Bien cordialement.

Cher Zacharie, merci pour cette belle parole.
Je vais méditer là-dessus toute la journée.

Avec l'amour franternel en Jésus Christ, notre Seigneur

Jean.

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