L’Evangile dans sa simplicité : La présence de Christ est ta sécurité

Textes supports : Marc 4 : 35-41 ; Luc 8 : 22-25

Un jour, Christ et ses disciples étaient dans une barque, dans le but d’atteindre l’autre rive. Pendant qu’ils naviguaient, un vent violent s’éleva et les vagues se mirent à menacer la barque qui commença à se remplir d’eau. Christ, quant à lui, dormait paisiblement à l’arrière comme si de rien n’était. Au vu du danger qui les menaçait, les disciples, pris de peur/panique, réveillèrent Christ en urgence lui demandant s’il ne voit pas la mort qui les menace. C’est alors que Christ calma le vent et les vagues et le calme revînt, devant la stupéfaction de ses disciples qui s’interrogeaient sur l’identité de leur Maître. Et Christ leur posa la question suivante : « Où est votre foi ? »

Durant notre apprentissage dans la marche avec le Seigneur, il peut arriver que des difficultés très éprouvantes s’abattent sur nous (le vent violent et les vagues). Comme les disciples, nous sommes alors pris de panique/peur. L’une des choses que nous pouvons remarquer est que la panique vient souvent du fait qu’on se rend compte que les éléments qui constituent notre sécurité/appui sont menacés de disparition (la barque). C’est ainsi que nous commençons à chercher des solutions humaines à ces situations difficiles et qui s’avèrent souvent vaines (les disciples ont sûrement cherché désespérément et vainement à vider la barque qui se remplissait). Nous essayons tant bien que mal à nous accrocher à notre « barque », mais cela ne change rien. Ayant épuisé tous nos efforts devant ces événements qui sont de plus en plus menaçants, et nous rendant à l’évidence que le salut ne viendra définitivement pas de la « barque » qui nous sert d’appui, on se tourne donc vers le Seigneur en disant : « Dieu, est-ce que tu dors ? Ne vois-tu pas ma situation difficile ? Mon sort ne t’intéresse donc pas ?  Depuis que je crie, tu n’entends donc pas ?». Cet état des choses traduit simplement l’incrédulité qui peut encore souvent nous habiter, notre manque de foi.

Les disciples n’avaient pas compris que leur sécurité n’était pas la barque, mais c’était la présence de Christ à leurs côtés. La sérénité, le calme, et le « repos » de Christ devaient les rassurer en ceci qu’ils n’avaient rien à craindre et à ne pas être dans l’inquiétude. En effet, Christ est leur secours, il est – et non la barque - leur véritable soutien (Esaïe 41 v 10). Nous pouvons même aller plus loin en disant que le véritable danger était donc leur incrédulité, et non le vent violent et les vagues déferlantes. Cette incrédulité ayant une seule origine : L’ignorance de qui est vraiment leur Maître (illustrée par le questionnement suivant qui va émerger en eux : « Qui est donc cet homme ? Même le vent et la mer lui obéissent »). Ainsi, la connaissance profonde de qui est Christ vient progressivement bannir en nous la crainte et la panique face aux situations périlleuses. Cela illustre bien cette Parole de Christ que nous paraphrasons pour la circonstance : Vous connaîtrez la Vérité qui est Christ, et la Vérité vous rendra libre vis-à-vis de l’incrédulité.

Et quand je parle des disciples, je parle de Toi, je parle de Moi.

La présence de Dieu est ta sécurité.

Paix et Joie sur tous

mogrejo a écrit:Textes supports : Marc 4 : 35-41 ; Luc 8 : 22-25

Un jour, Christ et ses disciples étaient dans une barque, dans le but d’atteindre l’autre rive. Pendant qu’ils naviguaient, un vent violent s’éleva et les vagues se mirent à menacer la barque qui commença à se remplir d’eau. Christ, quant à lui, dormait paisiblement à l’arrière comme si de rien n’était. Au vu du danger qui les menaçait, les disciples, pris de peur/panique, réveillèrent Christ en urgence lui demandant s’il ne voit pas la mort qui les menace. C’est alors que Christ calma le vent et les vagues et le calme revînt, devant la stupéfaction de ses disciples qui s’interrogeaient sur l’identité de leur Maître. Et Christ leur posa la question suivante : « Où est votre foi ? »

Durant notre apprentissage dans la marche avec le Seigneur, il peut arriver que des difficultés très éprouvantes s’abattent sur nous (le vent violent et les vagues). Comme les disciples, nous sommes alors pris de panique/peur. L’une des choses que nous pouvons remarquer est que la panique vient souvent du fait qu’on se rend compte que les éléments qui constituent notre sécurité/appui sont menacés de disparition (la barque). C’est ainsi que nous commençons à chercher des solutions humaines à ces situations difficiles et qui s’avèrent souvent vaines (les disciples ont sûrement cherché désespérément et vainement à vider la barque qui se remplissait). Nous essayons tant bien que mal à nous accrocher à notre « barque », mais cela ne change rien. Ayant épuisé tous nos efforts devant ces événements qui sont de plus en plus menaçants, et nous rendant à l’évidence que le salut ne viendra définitivement pas de la « barque » qui nous sert d’appui, on se tourne donc vers le Seigneur en disant : « Dieu, est-ce que tu dors ? Ne vois-tu pas ma situation difficile ? Mon sort ne t’intéresse donc pas ?  Depuis que je crie, tu n’entends donc pas ?». Cet état des choses traduit simplement l’incrédulité qui peut encore souvent nous habiter, notre manque de foi.

Les disciples n’avaient pas compris que leur sécurité n’était pas la barque, mais c’était la présence de Christ à leurs côtés. La sérénité, le calme, et le « repos » de Christ devaient les rassurer en ceci qu’ils n’avaient rien à craindre et à ne pas être dans l’inquiétude. En effet, Christ est leur secours, il est – et non la barque - leur véritable soutien (Esaïe 41 v 10). Nous pouvons même aller plus loin en disant que le véritable danger était donc leur incrédulité, et non le vent violent et les vagues déferlantes. Cette incrédulité ayant une seule origine : L’ignorance de qui est vraiment leur Maître (illustrée par le questionnement suivant qui va émerger en eux : « Qui est donc cet homme ? Même le vent et la mer lui obéissent »). Ainsi, la connaissance profonde de qui est Christ vient progressivement bannir en nous la crainte et la panique face aux situations périlleuses. Cela illustre bien cette Parole de Christ que nous paraphrasons pour la circonstance : Vous connaîtrez la Vérité qui est Christ, et la Vérité vous rendra libre vis-à-vis de l’incrédulité.

Et quand je parle des disciples, je parle de Toi, je parle de Moi.

La présence de Dieu est ta sécurité.

Paix et Joie sur tous

Cher Mogrejo,

Merci pour ce message édifiant et inspiré qui pointe avec justesse la question de notre foi face aux tempêtes de la vie. Les passages de Marc 4:35-41 et Luc 8:22-25 que tu cites sont en effet puissants pour nous rappeler que, même en présence de Christ, nous pouvons parfois nous laisser submerger par la peur. Mais tu fais bien de souligner que la véritable sécurité ne réside pas dans les circonstances ou les moyens humains que nous avons autour de nous (comme la barque), mais dans la présence même de Christ à nos côtés.

Ton analyse sur le lien entre l'incrédulité des disciples et leur méconnaissance de l'identité de Jésus est particulièrement percutante. Nous aussi, nous tombons dans l'inquiétude lorsque nous oublions qui est vraiment notre Seigneur – Celui qui maîtrise toutes choses, même les éléments naturels. Il est essentiel, comme tu l'as mentionné, de grandir dans cette connaissance de Christ, car elle nous libère de l'incrédulité et des peurs qui nous paralysent.

Ton appel à se rappeler que « la présence de Dieu est notre sécurité » est une vérité réconfortante qui résonne profondément. Cela nous ramène à l'essentiel : avoir confiance en Dieu et laisser sa paix régner dans nos cœurs, même au milieu des tempêtes.

Merci pour cette belle réflexion. Que Dieu continue de t'inspirer et de te guider dans ta marche avec Lui.

Paix et bénédictions sur toi également !

Fraternellement,
Jean

Jean a écrit:

Cher Mogrejo,

Merci pour ce message édifiant et inspiré qui pointe avec justesse la question de notre foi face aux tempêtes de la vie. Les passages de Marc 4:35-41 et Luc 8:22-25 que tu cites sont en effet puissants pour nous rappeler que, même en présence de Christ, nous pouvons parfois nous laisser submerger par la peur. Mais tu fais bien de souligner que la véritable sécurité ne réside pas dans les circonstances ou les moyens humains que nous avons autour de nous (comme la barque), mais dans la présence même de Christ à nos côtés.

Ton analyse sur le lien entre l'incrédulité des disciples et leur méconnaissance de l'identité de Jésus est particulièrement percutante. Nous aussi, nous tombons dans l'inquiétude lorsque nous oublions qui est vraiment notre Seigneur – Celui qui maîtrise toutes choses, même les éléments naturels. Il est essentiel, comme tu l'as mentionné, de grandir dans cette connaissance de Christ, car elle nous libère de l'incrédulité et des peurs qui nous paralysent.

Ton appel à se rappeler que « la présence de Dieu est notre sécurité » est une vérité réconfortante qui résonne profondément. Cela nous ramène à l'essentiel : avoir confiance en Dieu et laisser sa paix régner dans nos cœurs, même au milieu des tempêtes.

Merci pour cette belle réflexion. Que Dieu continue de t'inspirer et de te guider dans ta marche avec Lui.

Paix et bénédictions sur toi également !

Fraternellement,
Jean

Amen.

Gloire à Dieu qui nous enseigne ces choses. Que le Seigneur continue de t'inspirer également.

Paix et Joie sur toi.