salut
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salut
Les discussions théologiques entre les protestants et les catholiques, ainsi qu'au sein même du protestantisme, portent souvent sur deux positions opposées. Il s'agit de la divergence entre la perspective selon laquelle le salut devient véritablement nôtre (1)par notre réaction à la grâce de Dieu, (2) un changement concret, et (3) une pratique de vie, et d'autre part, une autre perspective selon laquelle le salut est obtenu uniquement par la grâce inconditionnelle de Dieu, indépendamment de notre réponse, de tout changement ou de toute pratique, et que les transformations dans notre vie ne sont que le résultat du salut.
Si l'on veut décrire la perspective ultérieure de manière plus métaphorique, cela pourrait être comparé à un arbre préalablement choisi par le Seigneur, que des fruits soient produits ou non. Avec le temps et selon la volonté divine, l'arbre prédestiné à la rédemption portera nécessairement des fruits.
Lorsque nous étions à l'école secondaire en Corée, on nous donnait souvent un test à choix multiples, et si vous voyiez l'adverbe "seulement" dans l'un des exemples, c'était généralement la mauvaise réponse, parce qu'il y a généralement beaucoup d'exceptions à la règle.
Ainsi, en tant que protestants, faisons-nous des affirmations déraisonnables sur la doctrine du salut avec nos cinq solas (par la grâce seule, par la foi seule, par le Christ seul, par la Bible seule, et à la gloire de Dieu seul) ? D'après l'expérience de la foi et le bon sens, il me semble que (1) nous devrions répondre positivement à l'appel de Dieu ; (2) il semble approprié que Dieu ne nous laisse pas tels que nous sommes, contaminés par le péché, et proclame "vous êtes purs", mais qu'il nous transforme en personnes pures ; (3) seule la foi manifestée par de bonnes œuvres d'amour est la vraie foi ; et (4) il semble approprié que nous n'entrerons au ciel qu'en accomplissant fidèlement de bonnes œuvres sous la direction du Saint-Esprit.
Pourquoi les protestants adoptent-ils des positions aussi intransigeantes qui semblent nier le bon sens et l'expérience de la foi ? Il est très difficile de répondre à cette thèse en quelques mots. Nous aimerions développer notre méditation en citant les paroles de l'apôtre Paul dans 1 Corinthiens 15:10.
10 Mais c'est par la grâce de Dieu que je suis ce que je suis ; et la grâce qu'il m'a accordée n'a pas été vaine, car j'ai travaillé plus que tous les apôtres, non par moi-même, mais par la grâce de Dieu qui était avec moi.
La déclaration de l'apôtre Paul selon laquelle son apostolat est uniquement grâce à la grâce de Dieu est une confession puissante. Paul a répondu à l'appel de manière plus assurée que n'importe quel autre apôtre, manifestant une abondance d'œuvres vertueuses et d'amour, et démontrant une fidélité exceptionnelle. Cependant, il attribue tout cela à la grâce de Dieu qui l'a accompagné. En d'autres termes, il confesse que tout est grâce (Sola Gratia).
Aux yeux humains, il semble impossible de mener une vie de foi plus dévouée que l'apôtre Paul. Si nous parlons avec sagesse humaine, nous pourrions enseigner que nous devons consacrer nos vies de la même manière que Paul l'a fait, en sacrifiant tout, pour réaliser un changement fondamental permettant d'entrer au ciel. Cependant, que nous enseigne réellement l'apôtre Paul ?
Il enseigne exclusivement la grâce. Sans cette grâce, un dévouement tel que celui de l'apôtre Paul ne serait pas possible. Par conséquent, nous aimerions provisoirement tirer la conclusion suivante :
Cherchez uniquement la grâce. Ce qui rend possible un dévouement tel que celui de l'apôtre Paul, c'est uniquement la grâce de Dieu. Si le ciel devait être gagné par nos réponses, par nos efforts de transformation, par nos actes d'amour, alors ce serait un royaume non pas de Dieu, mais plutôt un royaume de personnes justifiant elles-mêmes leur droiture.
Il n'est pas possible de résumer les débats qui traversent l'histoire du christianisme en une courte méditation. J'aborde cela avec l'intention de poser une pierre à cet édifice complexe.
Que le reste de notre temps aujourd'hui soit passé dans ta grâce, à jouir de ta paix et de ton amour, au nom de Jésus. Amen.
Si l'on veut décrire la perspective ultérieure de manière plus métaphorique, cela pourrait être comparé à un arbre préalablement choisi par le Seigneur, que des fruits soient produits ou non. Avec le temps et selon la volonté divine, l'arbre prédestiné à la rédemption portera nécessairement des fruits.
Lorsque nous étions à l'école secondaire en Corée, on nous donnait souvent un test à choix multiples, et si vous voyiez l'adverbe "seulement" dans l'un des exemples, c'était généralement la mauvaise réponse, parce qu'il y a généralement beaucoup d'exceptions à la règle.
Ainsi, en tant que protestants, faisons-nous des affirmations déraisonnables sur la doctrine du salut avec nos cinq solas (par la grâce seule, par la foi seule, par le Christ seul, par la Bible seule, et à la gloire de Dieu seul) ? D'après l'expérience de la foi et le bon sens, il me semble que (1) nous devrions répondre positivement à l'appel de Dieu ; (2) il semble approprié que Dieu ne nous laisse pas tels que nous sommes, contaminés par le péché, et proclame "vous êtes purs", mais qu'il nous transforme en personnes pures ; (3) seule la foi manifestée par de bonnes œuvres d'amour est la vraie foi ; et (4) il semble approprié que nous n'entrerons au ciel qu'en accomplissant fidèlement de bonnes œuvres sous la direction du Saint-Esprit.
Pourquoi les protestants adoptent-ils des positions aussi intransigeantes qui semblent nier le bon sens et l'expérience de la foi ? Il est très difficile de répondre à cette thèse en quelques mots. Nous aimerions développer notre méditation en citant les paroles de l'apôtre Paul dans 1 Corinthiens 15:10.
10 Mais c'est par la grâce de Dieu que je suis ce que je suis ; et la grâce qu'il m'a accordée n'a pas été vaine, car j'ai travaillé plus que tous les apôtres, non par moi-même, mais par la grâce de Dieu qui était avec moi.
La déclaration de l'apôtre Paul selon laquelle son apostolat est uniquement grâce à la grâce de Dieu est une confession puissante. Paul a répondu à l'appel de manière plus assurée que n'importe quel autre apôtre, manifestant une abondance d'œuvres vertueuses et d'amour, et démontrant une fidélité exceptionnelle. Cependant, il attribue tout cela à la grâce de Dieu qui l'a accompagné. En d'autres termes, il confesse que tout est grâce (Sola Gratia).
Aux yeux humains, il semble impossible de mener une vie de foi plus dévouée que l'apôtre Paul. Si nous parlons avec sagesse humaine, nous pourrions enseigner que nous devons consacrer nos vies de la même manière que Paul l'a fait, en sacrifiant tout, pour réaliser un changement fondamental permettant d'entrer au ciel. Cependant, que nous enseigne réellement l'apôtre Paul ?
Il enseigne exclusivement la grâce. Sans cette grâce, un dévouement tel que celui de l'apôtre Paul ne serait pas possible. Par conséquent, nous aimerions provisoirement tirer la conclusion suivante :
Cherchez uniquement la grâce. Ce qui rend possible un dévouement tel que celui de l'apôtre Paul, c'est uniquement la grâce de Dieu. Si le ciel devait être gagné par nos réponses, par nos efforts de transformation, par nos actes d'amour, alors ce serait un royaume non pas de Dieu, mais plutôt un royaume de personnes justifiant elles-mêmes leur droiture.
Il n'est pas possible de résumer les débats qui traversent l'histoire du christianisme en une courte méditation. J'aborde cela avec l'intention de poser une pierre à cet édifice complexe.
Que le reste de notre temps aujourd'hui soit passé dans ta grâce, à jouir de ta paix et de ton amour, au nom de Jésus. Amen.
Jean- Messages : 905
Date d'inscription : 06/01/2017
Localisation : Séoul
Re: salut
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Bonjour,
J'avais posté cette réflexion, au départ pour une source catholique :
Une différence entre Saint-Paul et Saint-Jacques c'est que Paul parle de la justification devant Dieu, alors que Jacques parle de la justification devant les hommes. Par ailleurs, dans Jacques (et même dans Paul), Abraham a été justifié par ses œuvres. Mais de quelles œuvres s'agissait-il ? Avait-il donné une liasse de gros billets au denier du culte, ou visité les malades, ou fait une "B.A" à l'occasion du congrès des chefs scouts ? Non. Simplement il avait cru Dieu. Et c'est cela qui lui a été compté à justice. En l'occurrence c'était une œuvre de foi, à bien distinguer des œuvres de bienfaisance ou de l'observation des 10 commandements, lesquelles ne sont pas des œuvres expiatoires ou salvatrices.
En fait, la clé du passage de Jacques 2 sur la foi et les œuvres, tient dans le premier verset (verset 14) : « quel profit y a t-il si quelqu’un dit qu’il a la foi et qu’il n’ait pas les œuvres ? ». L’apôtre Jacques se place dans l’hypothèse où quelqu’un qui se présente comme chrétien cherche à donner à autrui un faux témoignage de la réalité de sa foi, espérant en tirer un profit, par exemple un profit de considération ou de reconnaissance par rapport à son église locale. Ainsi le passage de Jacques tend à montrer qu’il n’y a pas de profit dans la seule déclaration d’avoir la foi, car la foi n’est pas essentiellement une chose que nous puissions voir, si ce n’est que partiellement par la considération des œuvres qui en découlent : la foi se trouve dans le cœur, mais seul Dieu connaît véritablement la réalité de ce bien (2 Timothée 2 :19).
Les « œuvres » d’Abraham, au sens classique du terme, ont consisté ni plus ni moins à s’apprêter à faire un assassinat de par un sacrifice humain. Mais ses œuvres de foi ont consisté pour lui à croire Dieu et à le prouver en se rendant au mont Morija, et à se résoudre à obéir à Dieu en supprimant l’enfant de la promesse.
Quant à Rahab, la prostituée, ses « œuvres » auraient pu être qualifiées de mauvaises, puisqu’elle a trahi son peuple. Mais son œuvre de foi a été d’accueillir en paix les espions hébreux, assurée qu’elle était de la vocation d’Israël.
Ce n’est pas du tout dans la même optique que Paul aborde la question de la justification par la foi sans œuvres, cette fois-ci non au regard des hommes mais à celui de Dieu. Autre point sur lequel Paul insiste beaucoup dans ses épîtres, c'est le cas de quelqu'un qui se prévaudrait de sa foi et de son salut, pour se permettre de faire n'importe quoi, y compris le pire. Paul combat résolument une telle attitude, pour peu qu'elle puisse se trouver effectivement chez un véritable enfant de Dieu.
Reprenons l’exemple de la foi d’Abraham (qui est appelé « père de la foi » et « ami de Dieu » et non « père des œuvres »). Cet exemple est abondamment explicité par Paul, notamment dans l’épître aux Romains. Mais restons-en même à ce qu’écrit Jacques : aux versets 21 et 22 est décrite la scène où Dieu demande à Abraham de sacrifier son fils promis Isaac (Genèse 22). Il ne s’est pas agi alors pour Abraham de faire des bonnes œuvres d’église, mais uniquement de faire le voyage jusqu’au mont Morija, et d’être prêt à accomplir le sacrifice. Certes en soi, ce voyage et cette intention pourraient être considérés en eux-mêmes comme des œuvres, si ce n’est des œuvres de foi : c’est pour cela que ce qui est relaté en Hébreux 11, 17, c’est la seule foi d’Abraham.
Mais c’est même bien avant cela (Genèse 15), et indépendamment de toutes bonnes œuvres (même s’il pût en avoir faites), que la Parole dit d’Abraham : «Et il crut l’Eternel ; et il lui compta cela à justice ». Aussi la justification d’Abraham en tant que croyant ne résulte que d’une chose, c’est qu’il crut Dieu, autrement dit qu’il eut la foi ? C’est ce qu’on appelle une œuvre de foi. Cela est relaté en Jacques 2, 23 et commenté en Hébreux 11, 8-10.
Il y a certes des rapports significatifs entre la foi et les œuvres. Ces dernières sont une conséquence et une démonstration de la foi, de telle manière que Dieu les approuve et même qu’il les suscite. Mais les œuvres n’ont aucune valeur méritoire ni encore plus expiatoire (en ce qu’elles contribueraient à la justification devant Dieu et au salut). Pourquoi pensez-vous que Paul dans ses épîtres, insiste lourdement et à plusieurs reprises à la justification par la foi sans les œuvres ? Il y a des raisons, assurément. Cela dit, pour les chrétiens, les œuvres sont très importantes, j'en suis tout à fait persuadé. Je ne veux en rien minimiser cela.
Enfin la foi c’est croire en Dieu, et même bien plus, c’est croire Dieu et pour le chrétien croire au Seigneur Jésus ; croire que ce dernier est mort sur la croix pour la rédemption et la rémission des fautes de ceux qui croient en lui. Mais cela va beaucoup plus loin, car comme le fait remarquer Jacques les démons connaissent tout cela et donc y croient, même s’ils ne sont pas éligibles eux-mêmes au salut de Dieu. Cela va beaucoup plus loin en effet, car l’homme qui a réellement la foi (et non seulement une simple conviction intellectuelle), acquiert une vie nouvelle qui est la vie éternelle, et de plus est habité par le Saint Esprit, personne divine. Il jouit de la rédemption, de la rémission de ses péchés. C’est la conversion qui confère cela.
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Bonjour,
J'avais posté cette réflexion, au départ pour une source catholique :
Une différence entre Saint-Paul et Saint-Jacques c'est que Paul parle de la justification devant Dieu, alors que Jacques parle de la justification devant les hommes. Par ailleurs, dans Jacques (et même dans Paul), Abraham a été justifié par ses œuvres. Mais de quelles œuvres s'agissait-il ? Avait-il donné une liasse de gros billets au denier du culte, ou visité les malades, ou fait une "B.A" à l'occasion du congrès des chefs scouts ? Non. Simplement il avait cru Dieu. Et c'est cela qui lui a été compté à justice. En l'occurrence c'était une œuvre de foi, à bien distinguer des œuvres de bienfaisance ou de l'observation des 10 commandements, lesquelles ne sont pas des œuvres expiatoires ou salvatrices.
En fait, la clé du passage de Jacques 2 sur la foi et les œuvres, tient dans le premier verset (verset 14) : « quel profit y a t-il si quelqu’un dit qu’il a la foi et qu’il n’ait pas les œuvres ? ». L’apôtre Jacques se place dans l’hypothèse où quelqu’un qui se présente comme chrétien cherche à donner à autrui un faux témoignage de la réalité de sa foi, espérant en tirer un profit, par exemple un profit de considération ou de reconnaissance par rapport à son église locale. Ainsi le passage de Jacques tend à montrer qu’il n’y a pas de profit dans la seule déclaration d’avoir la foi, car la foi n’est pas essentiellement une chose que nous puissions voir, si ce n’est que partiellement par la considération des œuvres qui en découlent : la foi se trouve dans le cœur, mais seul Dieu connaît véritablement la réalité de ce bien (2 Timothée 2 :19).
Les « œuvres » d’Abraham, au sens classique du terme, ont consisté ni plus ni moins à s’apprêter à faire un assassinat de par un sacrifice humain. Mais ses œuvres de foi ont consisté pour lui à croire Dieu et à le prouver en se rendant au mont Morija, et à se résoudre à obéir à Dieu en supprimant l’enfant de la promesse.
Quant à Rahab, la prostituée, ses « œuvres » auraient pu être qualifiées de mauvaises, puisqu’elle a trahi son peuple. Mais son œuvre de foi a été d’accueillir en paix les espions hébreux, assurée qu’elle était de la vocation d’Israël.
Ce n’est pas du tout dans la même optique que Paul aborde la question de la justification par la foi sans œuvres, cette fois-ci non au regard des hommes mais à celui de Dieu. Autre point sur lequel Paul insiste beaucoup dans ses épîtres, c'est le cas de quelqu'un qui se prévaudrait de sa foi et de son salut, pour se permettre de faire n'importe quoi, y compris le pire. Paul combat résolument une telle attitude, pour peu qu'elle puisse se trouver effectivement chez un véritable enfant de Dieu.
Reprenons l’exemple de la foi d’Abraham (qui est appelé « père de la foi » et « ami de Dieu » et non « père des œuvres »). Cet exemple est abondamment explicité par Paul, notamment dans l’épître aux Romains. Mais restons-en même à ce qu’écrit Jacques : aux versets 21 et 22 est décrite la scène où Dieu demande à Abraham de sacrifier son fils promis Isaac (Genèse 22). Il ne s’est pas agi alors pour Abraham de faire des bonnes œuvres d’église, mais uniquement de faire le voyage jusqu’au mont Morija, et d’être prêt à accomplir le sacrifice. Certes en soi, ce voyage et cette intention pourraient être considérés en eux-mêmes comme des œuvres, si ce n’est des œuvres de foi : c’est pour cela que ce qui est relaté en Hébreux 11, 17, c’est la seule foi d’Abraham.
Mais c’est même bien avant cela (Genèse 15), et indépendamment de toutes bonnes œuvres (même s’il pût en avoir faites), que la Parole dit d’Abraham : «Et il crut l’Eternel ; et il lui compta cela à justice ». Aussi la justification d’Abraham en tant que croyant ne résulte que d’une chose, c’est qu’il crut Dieu, autrement dit qu’il eut la foi ? C’est ce qu’on appelle une œuvre de foi. Cela est relaté en Jacques 2, 23 et commenté en Hébreux 11, 8-10.
Il y a certes des rapports significatifs entre la foi et les œuvres. Ces dernières sont une conséquence et une démonstration de la foi, de telle manière que Dieu les approuve et même qu’il les suscite. Mais les œuvres n’ont aucune valeur méritoire ni encore plus expiatoire (en ce qu’elles contribueraient à la justification devant Dieu et au salut). Pourquoi pensez-vous que Paul dans ses épîtres, insiste lourdement et à plusieurs reprises à la justification par la foi sans les œuvres ? Il y a des raisons, assurément. Cela dit, pour les chrétiens, les œuvres sont très importantes, j'en suis tout à fait persuadé. Je ne veux en rien minimiser cela.
Enfin la foi c’est croire en Dieu, et même bien plus, c’est croire Dieu et pour le chrétien croire au Seigneur Jésus ; croire que ce dernier est mort sur la croix pour la rédemption et la rémission des fautes de ceux qui croient en lui. Mais cela va beaucoup plus loin, car comme le fait remarquer Jacques les démons connaissent tout cela et donc y croient, même s’ils ne sont pas éligibles eux-mêmes au salut de Dieu. Cela va beaucoup plus loin en effet, car l’homme qui a réellement la foi (et non seulement une simple conviction intellectuelle), acquiert une vie nouvelle qui est la vie éternelle, et de plus est habité par le Saint Esprit, personne divine. Il jouit de la rédemption, de la rémission de ses péchés. C’est la conversion qui confère cela.
__
gerardh- Messages : 5916
Date d'inscription : 30/06/2012
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